CONTRE la loi ESR "Fioraso", parce que POUR la langue française !

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#1201

2013-05-16 20:30

mais que fait F Asselineau ?
parce que parler sans cesse et des centaines d'heures çà sert à rien
faudrait qu'il se sorte les doigts du cul le vieux !
Flamme de l'Étoile

#1202 Re: Un manifeste sur site. Puis rien.

2013-05-16 20:37

#1200: -

Un manifeste sur site. Puis rien.

Andrew

#1203 Re:

2013-05-16 20:43

#1201: -  

 

Manifestement, la grossièreté est un langage universel.

Visiteur

#1204

2013-05-16 22:27

Fioraso , second couteau du maire strausskanien de Grenoble, est la représentante d'une intelligentsia
politico-mafieuse qui phagocyte la région depuis
Carignon (ex-maire et ministre , aussi pervers que
D.S.K.).

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2013-05-16 22:48


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2013-05-16 22:48


blinda

#1207

2013-05-16 23:06

Je voudrais connaître la teneur des décrets d'application et, comme la loi Toubon aujourd'hui n'est pas respectée, savoir comment la prochaine loi et ses décrets d'application seront, eux, respectés.
Dans d'autres pays voisins, les universités ont basculé pratiquement vers le tout-anglais.
Flamme de l'Étoile

#1208 Re: Re: et quelle BASSESSE du visiteur 1201 ! !

2013-05-17 07:30

#1203: Andrew - Re: et quelle BASSESSE ! !

et quelle BASSESSEdu visiteur 1201 ! !

Flamme de l'Étoile

#1209 : Le français dans le monde.

2013-05-17 08:18

Copier-coller.

Source : http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/Les-dossiers-de-la-redaction/Francophonie/p-25313-Universite-francaise-l-anglais-trouble.htm


Le français dans le monde
- la Francophonie revendique 220 millions de locuteurs, dont plus de 96 millions en Afrique. 3% de la population mondiale. 

- 9e langue parlée dans le monde, 2e langue de l'Union européenne 

- 60% des francophones ont moins de 30 ans 

- 13 Etats ont le français comme langue officielle unique et 16 comme langue co-officielle. 

- les 56 pays membres et les 19 pays observateurs de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) représentent un total de 890 millions d'habitants 

- quelque 116 millions de personnes apprennent le français dont environ la moitié comme langue étrangère 

- selon les projections de l'OIF, en 2050, près de 85% des 715 millions de francophones vivront en Afrique. En Europe, il n'y aura alors plus que 12% des francophones dans le monde.

:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::

Flamme de l'Étoile

#1210

2013-05-17 13:25

La France c'est le français !

Un français doit parler et penser en français !

La France aux français d'abord !

Rejoignez vite l'UPR pour qu'elle mettre le pays au pas !

Vive la France Orléaniste et Bonapartiste !

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#1211

2013-05-17 17:53

Je suis sûr qu'une lois pareille ne serait pas votée dans un pays anglo-saxon envers le français.
C.Borrel

#1212 Qu’elle porte sa loi à l’étranger aussi, et vive la francophonie

2013-05-17 18:05


Lors de son audition du 14 mai dernier à l’Assemblée nationale, madame la ministre a déclaré qu’elle était pour une «francophonie ouverte ».

Je lui suggère donc d’aller plus loin et de proposer sa loi à Londres, Washington, Canberra etc. en demandant aux universités de ces pays de dispenser un quota significatif – au moins 30% - de leurs cours en français.

Nul doute que l’accueil et les explications qui lui seront données en anglais seront à son goût.
visiteur

#1213

2013-05-17 18:13

Je crois que «francophonie ouverte », c'est juste un euphémisme pour «anglophonie».

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#1214

2013-05-17 18:59

Il est indispensable de défendre notre langue.
$€£

#1215 10 000 et des soupières...

2013-05-17 22:52

10 000 signataires

La ministre n'en dort plus

Le gouvernement a peur

Hollande va démissionner

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#1216

2013-05-18 00:35

Allume

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#1217 Re:

2013-05-18 01:08


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#1218

2013-05-18 04:56

ils vont faire comment les etudiants francais s'il comprennent mal l'anglais ? (il va y avoir des dégats et des pertes) il n'y aura que les etudiants etrangers qui vont vraiment comprendre ?
les profs ils vont faire comment pour faire leurs cours ??(donnez moi le % de ceux qui sont capables de faire un cours en anglais!!!)
j'ai jamais une loi aussi débile pour l'enseignement. avec ce gouvernement, c'est toujours les francais qui doivent s'adapter aux autres, jamais l'inverse...
100% produit de la fac

#1219 Re: (c'est ca t'as raison)

2013-05-18 05:10

#1206: -

"Il n'est pas ici question de contraindre les enseignants qui ne le souhaitent pas à enseigner en anglais. Le projet de loi n'entravera aucun enseignant." c'est exactement le cas, si je me trompe ?

sinon, soit cette loi n'est pas contraignante et elle sert à RIEN. soit elle l'est, et elle va faire des dégats.

"On recense ainsi plusieurs centaines de masters en France dans lesquels on enseigne en anglais." oui mais c'est LIBRE et pas generalisé. si on generalise (impose) l'emploi de l'anglais partout, on va exclure des université ceux qui sont faibles en anglais (*)  pour favoriser les étudiants étranger et ainsi encore baisser le niveau technique et scientifique de nos eleves.

(*) (c'est moins facile que ca ne parait, surtout à un certain niveau -j'en sais qq chose: dans mon job, j'ai du me farcir une doc en anglais absolument INCOMPREHENSIBLE, meme dico et traducteur automatique à l'appui-)

 

avec la gauche, faut tjs qu'il y ait des cons qui se croient intellectuels et veulent révolutionner l'enseignement. qu'on s'occupe déjà que la fac soit plus adaptée aux realités de l'activité future de l'étudiant, et au marché de l'emploi aussi (j'en sais qq chose, j'ai fait toute ma scolarité à la fac et suivi un DESS d'informatique qui a débouché sur 1 an de chomage, vu que le prog était complètement fantaisiste => j'ai du completer par une formation AFPA, suite à laquelle j'ai décroché un emploi 3 semaine apres -y'a pas photo!-)

 


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#1220

2013-05-18 06:20

On est déjà que trop envahi par les mots anglais.
Restons Français comme le disait si bien Fernand Raynaud!!!!

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#1221

2013-05-18 07:13

Notre belle langue galvaudée , non mais!!!, après le mariage homo , plus rien ne les arrêtent , ou va t on?,
Flamme de l'Étoile

#1222 Parler français est un plaisir et un bonheur où que je sois.

2013-05-18 08:24

Que des présentateurs du média mercantile français parlent français intégralement.

Ceux-ci tombent sous le coup de la loi dite Toubon.

Le projet-loi-Fioraso contrarie la Constitution française / article 2, qui dit "La langue de la République est le français."


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#1223

2013-05-18 08:26

Je suis devenu français par amour de la langue française. J'aime ce pays et sa culture. Je n'entends pas me laisser déposséder de ce patrimoine si indispensable à l'humanité au profit d'une langue qui ne fait que structurer dans nos imaginaires l'impérialisme culturel anglo-saxon. Vive la diversité. Vive la langue de Molière. Mohamed
Gallus

#1224 Re: le rôle du français dans l'enseignement supérieur et son avenir en général

2013-05-18 08:35

#2: -

Non, « savoir vivre avec son temps » ne signifie pas déférer aux ordres de la puissance du moment [en 1940, aura-t-il fallu se mettre impérativement à l'allemand au détriment du français ?], surtout lorsque c'est l'avenir de notre langue qui est en jeu et, plus généralement, notre avenir. Si tout se fait en anglo-étasunien, les anglophones auront toujours les meilleures places, les postes de responsabilité... avec quelques strapontins ultra-minoritaires pour les non-anglophones à condition qu'ils fassent preuve de la plus grande docilité.

Ceci notamment pour une raison évidente : sauf cas exceptionnel (vrai bilinguisme : ce n’est pas la même chose qu’avoir un bon niveau, je puis en témoigner), on n'est jamais aussi à l'aise que dans sa propre langue, surtout dès qu'il faut exprimer un raisonnement pointu ou une réflexion fine. Je cite cet anecdote dont je garantis l'authenticité même si, pour des raisons évidentes de confidentialité, je ne puis en citer la source : il y a – déjà ! – dix ou quinze ans, lors d'une discussion à bâtons rompus, le responsable d'une des plus grandes directions de l'UE (l'équivalent d'un gros ministère type Économie et Finances) disait « Tout se fait en anglais dans mon service : donc, pour les postes de responsabilité, je ne recrute que des anglophones. » Voilà la perverse et implacable logique du tout-anglais : mais comme il s'agit d'un phénomène lourd se déroulant sur plusieurs décennies, la plupart des gens ne sachant pas adopter une vision historique à moyen ou long terme car gavés d'instantané, de « scoops » et de « zapping » n'en sont pas conscients, même face à une terrifiante accélération de l’Histoire (parlé il y a 20 ans par de très nombreux Roumains, le français est en voie d’éradication rapide dans ce pays).

Tout ce qui peut freiner la monoculture anglophone doit être fait si nous ne voulons pas d'un avenir dans lequel nous aurons le choix entre nous renier totalement pour devenir des collaborateurs de l'impérialisme anglo-étasunien ou borner nos ambitions à servir des cafés aux décideurs issus de le la Race des Seigneurs, ceux qui parlent la langue des Maîtres. Vous riez, vous haussez les épaules ? Allez voir comment les choses se passent à l'UE, dans tant d'organisations internationales (OMC, OCDE, OMPI, etc.) ou encore massivement et brutalement dans les entreprises multinationales (même les soi-disant françaises) !

Parmi les meilleures parades au recul du français notamment dans l'enseignement et la recherche, il faut travailler (et non se focaliser sur les classements type Shangaï dont les critères sont définis par les Anglo-Saxons ou les gens formés par eux) – et beaucoup – par exemple dans les directions suivantes :

- Améliorer significativement la qualité de l'enseignement en France : il y a d'abord trop d'étudiants dans des filières sans débouchés et ils consomment des moyens qui sont déjà insuffisants : nous n'avons pas fini de récolter les fruits amers du funeste « Non à la sélection » des soixante-huitards ; et puis, trop d'universités dispensent un savoir sclérosé et dispensé selon des méthodes vieillottes... et ce n'est pas seulement une question de moyens : sans que la qualité de l'écrit en souffre, le travail sur l'expression orale est bien meilleur à Sciences-Po qu'à l'université, il est facile de faire venir régulièrement gratuitement ou pour un très faible coût des intervenants extérieurs (ex : un conseil en marques lors d'un enseignement universitaire sur le droit des marques) ; mais il y a souvent – fût-ce inavoué – un tel rejet par maints universitaires de tout ce qui peut mettre en perspective et donc relativiser leur enseignement, un tel refus craintif et viscéral d'une confrontation, si féconde pourtant et pas forcément antagoniste, entre théorie et pratique...

- Rendre l'enseignement supérieur en France attractif, c'est aussi mieux accueillir (cf. les conditions odieuses dans lesquelles les différents titres de séjour sont délivrés dans ce pays, ce que je connais bien, mon épouse étant asiatique ; en y repensant, j'ai encore la haine – j'assume le mot – vis-à-vis de cette administration chaotique, incompétente méprisante et tracassière qui maltraite, voire humilie les étrangers) les étudiants étrangers, en n'hésitant pas à faire au moment de l'entrée en France – ou chaque fois que possible avant – le tri entre les « touristes » et les personnes motivées ;

- Améliorer l'enseignement des langues en France et pas seulement l'anglais, loin de là :

. trop de Français ont une mentalité arriérée en ce qui concerne l'apprentissage des langues lequel est assimilé à une corvée (alors que c'est une aventure fantastique et une source d'enrichissement sans fin) que l'on exécute, c'est le cas de le dire, avec un consternant manque de sérieux (pour ne pas parler de paresse, voire de sottise) ; je ne connais guère d'autre pays (et surtout pas parmi les pays développés entourés de nombreux voisins parlant d'autres langues : on n'est pas au Japon !) où les gens se contentent de balbutier une seule langue étrangère, l'anglais bien sûr, et avec un accent ridicule dont seul un Français n'a pas honte ;

. en plus, on ne se rend pas compte de l'avantage compétitif que représente la maîtrise de langues étrangères autres que l'anglais : par exemple, si vous voulez faire durablement des affaires en Corée, il faut des gens parlant le coréen car (i) peu de Coréens parlent bien l'anglais, chose normale car c'est aussi difficile que, pour un Français d'apprendre le coréen (même s'il n'est pas difficile à prononcer et qu'il s'écrit avec un alphabet), (ii) en apprenant une langue, surtout s'agissant de celle d'une civilisation très différente, on comprend la culture, la mentalité, etc. et on évite bien des impairs et (iii) si on se limite au « Globish » (et même si on a un niveau convenable en anglais) , les anglophones (qui sont parfois handicapés par leur ignorance arrogante de toute langue étrangère : il y a là une faiblesse à exploiter) vous battront toujours par définition. Je me souviens qu'il y a déjà des années, Intermarché s'est planté en Italie et leur directeur commercial dans ce pays ne parlait même pas l'italien ! Cherchez l'erreur...

En tout cas, il ne faut pas faire le jeu des anglophones : c'est honteux et suicidaire (cf. Kant : « Si tu te fais ver de terre, ne t'étonne pas que l'on te marche dessus. »). Mais il faut nous remettre très sérieusement en question en nous souvenant que l'indépendance implique l'effort et le sérieux.

« Il n'y a, dans le monde, ni oppresseurs, ni opprimés. Il y a ceux qui tolèrent qu'on les opprime et ceux qui ne le tolèrent pas... » (Mustapha Kémal)

 

 

 

 


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#1225

2013-05-18 08:48

"Allez voir comment les choses se passent à l'UE, dans tant d'organisations internationales (OMC, OCDE, OMPI, etc.) ou encore massivement et brutalement dans les entreprises multinationales (même les soi-disant françaises) !"

Galius a raison. Allez donc y voir, tiens. Le spectacle est édifiant.