Non à l'abrogation des décrets de 1950 pour les enseignants.

Quoted post

Bd. P.

#202 Re

2014-03-27 14:47

#196: CATASTROPHE - CATASTROPHE

On apprend par l'intermédiaire d'un syndiqué de FO qu'avant que le projet Peillon ne soit publié, il devra passer encore devant le CS FPE (conseil supérieur de la fonction publique d'Etat) et il devra passer encore devant le conseil d'Etat, le tout avant application à la rentrée 2015: cela laisse le temps de s'organiser.

Il faut donc continuer à faire circuler massivement la pétition.
Après la signature de l'accord du ministre avec quelques syndicats et l'absention du Snes, le combat ne fait que commencer.

Réponses

Totor

#203 Re: Re

2014-03-27 14:51:41

#202: Bd. P. - Re

Il faudra clairement plaider la rupture de contrat de travail : je n'ai pas été embauché dans l'EN pour faire de la garderie et des tâches d'animation locale dictées par un chef d'établissement ou un CA mais pour être professeur de la nation, transmettre un savoir académique à de futurs citoyens en donnant un cours conçu par mes soins.

 

Par ailleurs, il faudra surtout que les collègues adhèrent rapidement et massivement à des syndicats qui les défendent.

Ou alors créent très rapidement une coordination nationale digne de ce nom. N'y a-t-il pas plein de néo-retraités certifiés et agrégés qui pourraient nous concocter ça avec efficacité et intelligence ?


Visiteur

#212 Re: Re

2014-03-27 17:22:15

#202: Bd. P. - Re

A la rentrée 2015, j'aurai envoyé une belle lettre de démission à l'éducation nationale !

Je continuerai d'enseigner car j'aime beaucoup ça et je suis un bon prof... mais en cours particulier, cher et au black.

Après tout, les hommes politiques nous montrent bien la voie ! Combien payent des impots ? J'aimerais bien le savoir ! Et combien, comme Cahuzac, planquent des comptes en Suisse, les yeux dans les yeux ?!

Au black. Comme en Grèce et ailleurs, là où le petit peuple est condamné à la résistance.

Dans ton c... les impots sur le revenu !

L'exemple vient d'en haut : j'ai bien compris la leçon, M. le ministre, moi aussi, je vais, comme vous, devenir un voleur !