Aidez moi! Pour l'obtention d'un agrément pour un retour de mes animaux qu'on m'a saisie, que j'ai sauvé et élevés

Bonjour, 

Aujourd’hui c’est une femme brisée par le chagrin et qui se demande le bien-fondé de cette loi sur le bien-être animal et qui a besoin de votre soutient aujourd’hui.On lui dit qu’elle n’a pas l’aptitude pour s’occuper des ses animaux, mais chez elles, les seuls animaux morts le sont de vieillesse. Elle, n’a pas attendu pour s’occuper des animaux en détresse. Bien avant cette loi, elle a pris soin et sauvé de nombreux animaux, quel qu’ils soient. Que ceux-ci soient sur une liste ou pas, ne faisait pas partie de sa décision au moment où elle sauvait un animal. Ne pas le faire aurait été une non-assistance à personne en danger.Elle n’a jamais fait de trafic, ni alimenté ce réseau, n’a jamais non plus fait de la reproduction ni de l’élevage, elle a juste été là au bon moment pour sauver des animaux de la bêtise humaine. Alors pourquoi les avoir gardés. Ils ont été sauvés dans leur première semaine de vie, et reçu toute l’attention nécessaire pour qu’il survive. Elle a essayé de demander conseil pour régularisé sa situation mais les seuls réponses étaient : c’est tellement compliqué, garde les et fait en sorte qu’ils soient bien. !Alors elle les a gardé pendant des années et leurs à consacré toute son attention et son amour. Ils vivaient en liberté l’été, dehors ou à la maison avec les chats et les chiens de la maison. Jamais une plainte, jamais un problème, et tout le monde savait comment elle était avec ses animaux. Le journal la province ainsi que le journal de Quaregnon l’avait même mis à l’honneur et présenter son raton laveur. Alors hier c’était permis et aujourd’hui c’est le crime le plus horrible, elle ne comprend pas.

L’histoire d’Angélique et de ses animaux : 

Pour essayer de vous faire comprendre ce qu’est le monde animal pour elle, voici une description du chemin qu’elle a suivi ou subit. Son passé assez difficile, même très difficile, mais ce n’est pas le point ici, l’a éloigné de plus en plus du genre humain et c’est dans le monde animal qu’elle a trouvé la force de continuer. Comme elle le dit souvent, un animal te rend tout ce que tu lui donnes, sans arrière-pensée et sans condition. Elle a passé une formation de palefrenier soigneur et été bénévole sur site 24h/24 dans l’ASBL Wild Peace pendant plusieurs années (de 1993 à 1996). S’occupant des animaux mal traités, faisant des saisies avec les autorités et essayant de leur redonner confiance en l’homme. Dans cette même période, dans cette association elle a côtoyé et soigné d’autres espèces comme des renards, un raton laveur, des biquettes, oies et cochon vietnamien entre autre. Elle accompagnait les éducateurs d’enfants handicapés qui faisait de l’hippothérapie. 

Donc en matière de maltraitance elle était au cœur du problème et la suite de son parcours ne s’est axez sur une seule chose, ne plus en voir souffrir un. Une utopie sans doute mais cela a toujours été son combat. Elle a continué à s’occuper de ses animaux et de ceux des autres pendant plusieurs années, avec en 2008 une reconnaissance dans le journal La Province où l’on lui a consacré une petite page. Et aussi dans 2 éditions du journal de Quaregnon en Mai et Septembre 2010.

La vie de d’Angélique c’est 1 semaine de vacance par ans et le reste du temps, c’est travailler et s’occuper au mieux des sa familles, humaines et animales. C’est partir la nuit chez des amis pour les aider avec leurs animaux, aidé pendant les accouchement difficiles et j’en passe..

Alors pourquoi des animaux interdits, en plus des animaux dit normaux. C’est un parcours fait de coïncidences et chance d’être là au bon moment. Sans les rechercher, ils ont croisé son chemin et heureusement. Et pourquoi ne pas les avoir déclarés. Au début l’important était de les sauver, ensuite après quelques années elle a demandé conseil à la commune mais la difficulté était tel qu’elle ne pouvait pas se permettre de les perdre. Et les séparer d’elle pouvait signifier une mort certaine. Donc elle a continué à s’en occuper du mieux possible. Voici le parcours de ses animaux interdits.

Le raton laveur, Falco, trouvé à l’âge d’environ 1 mois(2 ans1/2 maintenant) retrouvé dans une poubelle du côté d’Arlon. Les autorités voulaient l’abattre donc elle l’a hébergé et nourri pendant des années. De même, le coati, Frisbie, seul bébé rescapé d’une nichée, dont la mère avait tué tous ses bébés sauf un, sauvé par un particulier et qui avait la moitié de la queue atrophiée. Elle l’a recueilli, soigné sa queue en empêchant l’amputation et l’a choyé et nourri pendant près de 11 ans. (Décédé après deux mois de garde au refuge qui devait en prendre soin!!!!!!!!).

Ils vivent ensemble dans une cage construite sur mesure, de 5 m de long sur 3 mètres de large, et 2 mètres de haut. Un toit recouvre l’entièreté de la cage. L’intérieur est aménagé avec des rochers, des branches d’arbres, d’une grotte pour dormir, un hamac pour se reposer ou jouer ainsi qu’une toilette qu’ils utilisent !  Ils étaient en forme et en bonne santé. Déclarés tout les deux comme nuisibles, mais castrés, et porteur d’une puces, gardés dans un environnement protégé. Par définition plus nuisible du tout.

 Le Saïmiri, Gizmo, bébé de 1 mois (8 ans maintenant) récupéré chez un particulier du sud de la France, un couple de personnes âgées qui ne savait plus prendre soins et voulait lui trouver une personne bien pour s’en occuper. Nous étions  là par hasard pendant nos vacances et elle n’a pas hésité une seule minute. La mère de ce petit est décédée ne lui laissant aucune chance de survie, et là encore elle l’a recueilli et sauvé d’une mort certaine. Ce petit être a eu un problème pendant les premières années d’hébergement et elle a remué ciel et terre pour trouver ce dont il souffrait, n’hésitant pas à contacter un vétérinaire malgré le risque de se le faire enlever. C’était une carence en vitamine D, confirmé par le vétérinaire. Là encore elle a posé les gestes nécessaires pour le sauver.  Ce petit singe vit en général dans le chalet et la cage extérieure du lémurien. Il a aussi son endroit dans la maison, le premier refuge de son enfance où il aime s’y reposer. Celle-ci se trouve dans la salle à manger au milieu de la famille. Il est en forme et en bonne santé. Il lui arrive aussi de partager le quotidien des chiens et des chats de la maison en pleine liberté. Jamais il n’est parti au-delà des limites de la maison. Régularisation impossible, et remise en troupe très délicate car élevé depuis bébé par l’homme. Ses congénères, c’est chacun des autres animaux de la maison ainsi que sa famille humaine. Elle n’avait pas le choix que de le garder.

C’est la même conclusion pour le lémurien Nougat, âgé de trois mois (6 ans maintenant ), décrit par son propriétaire comme méchant et dangereux et qui voulait s’en débarrassé. Elle lui a demandé de lui laisser une chance et de le lui confier. Elle l’a ramené à la maison et passé des heures, des jours et jusqu’à dormir dans le chalet pour une simple approche pour en arriver aux résultats que vous pouvez voir dans les pièces jointes. Son habitat est un chalet en bois, doté d’un chauffage électrique pour l’hiver avec un hamac pour dormir et des jeux. Une trappe existe dans le chalet pour une sortie vers la cage extérieure comme vous le verrez aussi dans les pièces jointes. Il était en forme et en bonne santé, et partage sa cage avec Gizmo.

Et enfin, Moondy, Le kinkajou, un animal aussi inconnu que son nom pour une personne lambda. Il y à des années d’ici, elle a recueilli un vieux couple de kinkajou qui est venu finir leurs jours dans l’ASBL ou elle travaillait bénévolement. La perte de ce couple avait laissé un grand vide mais la vie est faite de ces moments difficiles. Il y a deux ans maintenant, une possibilité s’est présentée d’adopter un bébé kinkajou né en captivité détenu chez une connaissance en Espagne qui ne pouvait s’en occuper donc elle la recueilli. Elle l’a élevé au biberon et lui a donné toute l’attention et l’amour dont il a besoin. Connaissant ces espèces elle avait tout ce qu’il faut pour s’en occuper. Et qui sait où il aurait fini s’il elle ne l’avait pas pris.  Après le sevrage et un temps d’adaptation en intérieur, elle l’a laissé courir en liberté dehors, partageant aussi le quotidien des autres animaux de la maison.  Étant nocturne, elle le faisait dormir le soir avec le raton et le coati dans la grande cage extérieur. Enfin elle a décidé qu’il devait avoir son habitat à lui avec du chauffage. Un deuxième chalet a donc été construit et aménagé pour lui tout seul avec hamac et chauffage. Pendant ces mois de froid elle l’a installé dans une cage provisoire à l’intérieur de la maison.  Malheureusement elle n’a pas eu le temps de terminer ni son habitat d’hiver, ni celui d’été. Malgré la saisie, en attente des agréements et des décisions politiques, elle a construit une volière de 5m sur 2 était sur place et en cours d’aménagement pour lui constituer une cage d’été avec une trappe de sortie depuis sa cage intérieure. Vous pouvez voir le résultat sur cette photo.

Le ministère en charge a refusé le retour de mes animaux, jugeant mes installations insuffisantes et ce suivant des règlementations de Parc Zoologiques ainsi que le manque de congénères pour mes singes. Alors elle ne conteste pas le fait de la détention d’animaux interdit, mais ne pas les avoir sauvés aurait signifié un cas de non-assistance en animal en danger. Ils étaient dans une cellule familiale, entourer de tous les autres animaux de la maison et étaient tous habitués entre eux depuis leur plus jeune âge.  

Merci pour votre temps de lecture et prenez le temps de réfléchir si l’absence d’un bout de papier permette de les remettre en état de grand danger.Déjà 1de décédé!!!!! 

Si vous voulez me soutenir, signez cette pétition svp 

ils sont MA FAMILLE  !! 😪

Merci D’avance.

Voici le lien du groupe qu'elle à créer en hommage de ces bébés. 

https://www.facebook.com/groups/201059881114435/Dossier_Pétition-converti-page-001.jpgDossier_Pétition-converti-page-002.jpgDossier_Pétition-converti-page-003.jpg

 

 

 

 

 

 

 

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