Maquillage du racisme dans une décision judiciaire avec placement excessif ce 20 juin 2025 de trois métisses dont 2 élèves très brillantes (une passant son brevet le 26 juin)

Une décision de justice, sous couvert de protection venant de l’école , dissimule une réalité plus troublante : le racisme systémique.

Trois enfants métis viennent d'être placés brutalement, sans justification claire, dans ce qui s'apparente à une réponse disproportionnée et discriminatoire de la part des services éducatifs, sociaux et du système judiciaire. Un père à qui on reproche d’avoir une éducation rigoureuse mais qui donne ces résultats. Des enfants toujours parmi les 3 premiers de leur classe. On note ainsi une méconnaissance consciente ou inconsciente des méthodes préconisées par l’éducation nationale ou une volonté délibérée de ne pas vouloir voir réussir avec brio des enfants dont le père est issu de l’immigration. Parmi ces enfants, une jeune fille est particulièrement touchée : elle doit passer son brevet le 26 juin. Ce placement soudain met en péril non seulement son équilibre psychologique, mais aussi son avenir scolaire à court, moyen et long terme.

Nous interrogeons :

Quelle urgence réelle justifie une telle mesure juste avant un examen national ?

Pourquoi ce traitement, souvent réservé aux enfants issus des minorités visibles, semble-t-il s’abattre une fois de plus sur des jeunes métis ? Qui rendra des comptes si cette adolescente voit son avenir compromis par une décision qu’elle ne comprend pas et qui la prive de ses repères ?

Ce placement, loin d’être neutre, illustre les dérives d’un système qui, sous couvert de légalité, peut perpétuer des injustices raciales.

Nous appelons à la transparence, au respect des droits de l’enfant et à une révision urgente de cette décision.