DSK Soutien Pétition pour le soutenir

Quoted post


Visiteur

#1708 DSK MANIPULATION MEDIATIQUE

2011-08-18 09:46

Réponses


Visiteur

#1711 Re: DSK MANIPULATION MEDIATIQUE

2011-08-18 09:51:22

#1708: - DSK MANIPULATION MEDIATIQUE 

 

DSK/Diallo : un rapport médical déclaratif, non probant, inconsistant, voire incohérent Sur le site de l'Express, le mardi 16 août 2011, on découvre que Kenneth Thompson, l'avocat de Nafissatou Diallo, a reçu un journaliste de L'Express dans son bureau. Sur la table se trouve, selon l'Express, l'une de ces fiches médicales à la mise en page ésotérique Les sexual assaults forensic exams notes, les notes médico-légales d'agression sexuelle établies et archivées sur une dizaine de pages par le service des urgences de l'hôpital St Luke's Roosevelt de Manhattan du samedi 14 mai 2011, diffusées partiellement, qui interpellent sur les points suivants : 1) - l'intitulé de ces Notes ("médico-légales d'agression sexuelle" ) présume, dans l'esprit du Personnel médical, d'une agression sexuelle, au mépris de la présomption d'innocence (même s'il faut, évidemment, protéger les présumées-victimes d'agression sexuelle ou de viol et enregistrer avec soin leur plainte) ; 2) - on notera que la femme de chambre est "arrivée en ambulance" alors qu'elle était "alerte et capable de se déplacer seule" , comme l'indiquent : Les premières lignes du rapport ; 3) - on remarquera que des paragraphes entiers sont déclaratifs et n'ont aucune valeur probatoire, puisque l'Express précise, entre autres : Le rapport médical cite les propos des ambulanciers assurant qu'"elle est une femme de ménage du Sofitel qui a subi une agression sexuelle par l'occupant d'une chambre et qu'elle se plaint aussi d'une douleur à l'épaule gauche". Ils répètent la description que Nafissatou Diallo leur a faite de l'incident pendant le transport vers l'hôpital: "Il m'a poussée vers le bas et m'a enfoncé son pénis dans la bouche." ; Le médecin écrit: "Confusion, douleurs musculaires, tension." Il précise qu'elle réitère la même description de l'agression sexuelle: "La patiente déclare: "Il m'a poussée vers le bas et m'a enfoncé son pénis dans la bouche." ; 4) - en consultant le site de l'Express, le 16 août 2011, on peut penser, apparemment, que la réponse de la femme de chambre a été négative à la question posée par le personnel des urgences de l'hôpital (qui) demande à Nafissatou : si elle souhaite attendre l'arrivée d'un "Safe", un sexual assault forensic examiner, un infirmier ou un interne spécialisé dans l'examen médico-légal des agressions sexuelles. - Considérait-t-elle qu'elle n'avait pas besoin, d'un "interne spécialisé dans l'examen médico-légal des agressions sexuelles", si sa réponse a été négative à la question évoquée par l'Express ? 5) - le fait que, le médecin décrit de manière succincte le comportement de la victime (qui) "relate l'incident sur un mode narratif" est intéressant ; cela rappelle la manière dont la femme de chambre a fait la description à ABC News le mardi 26 juillet 2011, comme si elle racontait une histoire alors qu'elle est censée avoir subi, elle-même, une agression sexuelle 4 heures avant (le rapport médical ayant été enregistré à 15 h 59 ce samedi 14 mai 2011) ; 6) - dans la description de l'agression sexuelle qui aurait été pratiquée à l'hôtel, il y a une certaine incohérence, lorsque le rapport médical mentionne : Elle s'interrompt, marque des pauses, en décrivant l'acte de fellation. "L'homme nu aux cheveux blancs verrouille la porte et l'entraîne sur le lit" pour une première tentative, puis au fond du couloir, où il déchire ses collants, saisit "la partie extérieure de sa zone vaginale" "enfonce profondément son pénis dans sa bouche en la saisissant par les cheveux". Jusqu'à l'émission du sperme dont elle décrit le goût et "qu'elle crache sur la moquette". Rien ne prouve que cette fellation n'ait pas été consentie (pas de blessure ou de griffure de DSK à son sexe, par exemple) ; des questions dans plusieurs domaines se posent : - Pourquoi DSK aurait-il eu besoin de saisir la partie externe du vagin de la femme de chambre, pour une fellation ? - Qu'a-t-elle fait avant de cracher le sperme dont la description du goût est le seul élément concret amené ? - Faut-il que la relation ait duré un certain temps pour qu'il y ait eu émission de sperme ! - Etait-elle menacée pendant la relation sexuelle et par quoi ? - Dans quelle position était DSK au moment de la fellation pour pouvoir la maintenir avec force ? 7) La dernière page du rapport médical comporte un schéma de la zone vaginale de la victime, un élément standard des formulaires de ce type. La partie inférieure du vagin de la patiente, la "fourchette postérieure", est hachurée au crayon pour marquer l'emplacement d'un traumatisme. A droite sur la page, le praticien a inscrit au stylo rouge "rougeur sur la fourchette". Il précise encore la localisation: "5 and 7 o'clock." Entre "5 et 7 heures", comme sur le cadran d'une montre. Le reste du feuillet est occupé par une "check-list" de la zone vaginale de Nafissatou Diallo, requise pour toutes les victimes de viol. Seule la ligne consacrée à la "fourchette postérieure" comporte un commentaire: "Trauma" (traumatisme). Le rapport conclut: "Diagnostic: agression. Cause des blessures: agression. Viol." A cette partie finale du rapport médical, on peut faire les réponses suivantes : - L'accusation ne porte pas sur une pénétration vaginale inexistante (cf § 6), si l'on s'en tient aux déclarations de la présumée-victime reproduites dans le rapport médical, mais sur une fellation. - De plus, dans ce rapport médical il est fait état d'un organe externe, la fourchette arrière (partie arrière de la vulve) où le praticien constate "une rougeur" mais sans mention de pénétration. - Or, le rapport médical fait état de "viol" après des constatations superficielles alors qu'il n'y a pas eu de pénétration vaginale. - En conséquence, il ne peut être évoqué le terme de viol, à partir de la constatation médicale mentionnée dans ce rapport. - Enfin, le terme de "blessure" évoqué correspond visiblement à une rubrique de l'imprimé pré-établi et non à une constatation médicale : l'indication "agression" figurant en face du terme blessure doit correspondre à "la rougeur" constatée ; - On notera, dans cette "check-list" de la zone vaginale, que "Seule la ligne consacrée à la "fourchette postérieure" comporte un commentaire: "Trauma". Les services d'urgence, souvent débordés, ne peuvent pas toujours prendre le temps d'examiner une patiente et disséquer les termes adéquats à faire figurer dans un rapport pré-imprimé.. En tout état de cause, une contre-expertise n'a pas été pratiquée. 8) - on notera que dans ce rapport médical, il n'est pas fait mention de prélèvement de sperme, de traces ADN sur le corps de la présumée-victime, ce qui est pourtant essentiel pour connaître la provenance des éléments matériels ayant pu être constatés ; 9) - Enfin, ce rapport ne semble pas comporter la signature et la qualité de la personne qui a rempli ce questionnaire : s'agit-t-il d'"un infirmier ou d'un interne spécialisé dans l'examen médico-légal des agressions sexuelles" ? - Hors rapport médical, les questions qui se posent : * juste au début de la présumée agression le samedi 14 mai 2011 vers midi : lorsqu'on a devant soi, selon les déclarations de la femme de chambre, à Newsweek du 25 juillet 2011, " un homme complètement nu" "qui avait l'apparence d'un fou", (qui) "se jette sur vous" en vous "agrippant les seins, avant de claquer la porte de la suite", (en vous disant :)"Vous êtes magnifique", tout en vous traînant vers la chambre d'un hôtel de luxe : on ne lui répond pas : "Monsieur, arrêtez, je ne veux pas perdre mon travail". Elle avait ajouté à Neewsweek ne pas avoir utilisé la force pour se dégager par peur de se faire renvoyer (Nafissatou Diallo est de forte stature et mesure). * juste après, la présumée agression, le samedi 14 mai 2011, avant et après 12 h 28 mn : - Pourquoi la femme de chambre a t-elle fait le ménage, rapidement, dans la suite d'à côté puis est-elle revenue dans la suite 2806 pour finir le ménage, au lieu de porter plainte à sa Direction ? - Pourquoi la femme de chambre a t-elle laissé partir DSK, peu avant 12 h 28, samedi 14 mai 2011, lorsqu'elle "le voit partir habillé" avec ses valises debout devant l'ascenseur du 28 ème étage (déclaration à ABC News, le 26 juillet 2011) ? - Comme elle l'a déclaré, elle-même, également à ABC News, le mardi 26 juillet 2011, elle a appris par sa collègue de travail que le Monsieur qui occupait la suite 2806 était "quelqu'un de très important", juste après avoir vu partir ce client (soit peu après 12 h 28) ; c'est cette information fondamentale qui va déterminer la suite de l'affaire (plainte à l'Hôtel puis au Commissariat, rapport à l'Hôpital et communication téléphonique accablante à son fiancé dans une prison d'Arizona, dimanche 16 mai 2011 : "Ce type a de l'argent. Je sais ce que je fais !"). Conclusion: Le récit de la victime présumée, recueilli dans le rapport médical, le 16 mai 2011 a été "reproduit dans le texte de la plainte civile déposée en son nom par Kenneth Thompson" . Ainsi l'avocat de N. Diallo essaie de faire coup double : essayer de faire condamner, partiellement, DSK avant une possible levée des chefs d'inculpation par le Procureur de New York, mardi 23 août 2011, au Pénal et tenter d'obtenir des dommages-intérêts au Civil. Sa manœuvre ne trompera personne. Nous rappellerons sans les détailler les aspects autres que médicaux de la femme de chambre (mensonges sur d'autres présumés viols lors de sa demande de droit d'asile, sur une excision inexistante, sur 100.000 dollars déposés en liquide sur son compte en banque par un trafiquant de drogue, sur ses 5 portables, sur une fausse déclaration fiscale, sur une fausse déclaration pour toucher des allocations,...). 01:27 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : dsk, diallo, newyork, sofitel, hopital Trackbacks