J.BOMPARD essaie de passer en force depuis le début de cette opération en ne donnat que des informations partielles, notamment en ce qui concerne la protection du site inscrit au patrimoine de l'UNESCO. Cette insistance, ces tentatives de détournement de la Loi sont en fait l'expression d'une volonté qui se met au service d'intérêts particuliers ( urbanisation de la Colline ° au détriment de l'intérêt collectif ( développement d'un site historique, recherche scientifique et dynamisation du tourisme et du développement économpique d'Orange, de son bassin de vie et de tout le nord Vaucluse ).
La pression exercée sur les associations, la désinformation des citoyens relative au contexte, les arguments qui interdiraient toute autre implantation, le risque pris avec l'argent public, tout ceci doit renvoyer le Maire devant ses responsabilités. Pour ceci il faut se battre contre l'implantation du centre ( 15M€ d'investissement + 10M€ de voiries ). Le projet choisi est de belle qualité, il faut le placer ailleurs. La, seulement est l'enjeu : sauver le concours d'architecte et l'argent public.

#3: Anne Marie HAUTANT -  

 nous savons que cette municipalité ne sert que des intérêts d'ordre privé. D'ailleurs elle ne s'en cache pas. Il suffit de voir "ligue du sud".cette liste pourrait rassembler des ultras de l'extrême droite (particulièrement des Identitaires basés dans les Alpes-Maritimes) et des membres du Front régional, une dissidence du FN qui rassemble des élus comme Ronald Perdomo à Marseille ou le Vauclusien Guy Macary".

"Ce qui est certain, c'est que sa démarche n'est pas plus au service des Provençaux que des Vauclusiens".

Mais, qui s'oppose à cette ligue du sud ? les verts europe écologie, les socialistes, l'ump ?

Nobody

Quelle est la raison pour laquelle aucun parti de gauche, estrême gauche, droite, extrême droite ne se manifeste pour lutter contre ce microcosme politique ?

Alors que l'on sait que le but poursuivi est d'ordre uniquement financier, contre la loi, la légalité, l'ordre établi en utilisant l'argent public. Qui soutient ces mesures ?