Réouverture des négociations salariales chez COFELY GDF SUEZ

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#1

2012-01-23 14:13

WILLIAM REICH DISAIT " IL FAUT ETRE GOUVERNE PAR QUELQU'UN QUI CONNAIT LE TRAVAIL MAIS PAR COMME AUJOURDHUIS PART QUELQU'UN QUI A JUSTE UNE IDEE DU TRAVAIL"

DE MEME DE NOS JOURS AVEC LA CRISE QUE L ON VEUT NOUS FAIRE AVALER MESSIEURS LES ACTIONNAIRES EN COLS BLANCS SACHEZ QU IL EST POSSIBLE ET SERAIENT TRES LOUABLE A VOTRE IMAGES DE MARQUES DE FAIRE UN SIMPLE GESTES POUR TOUS VOS SALARIES (LE PARTAGE DES RICHESSES) MAIS NI CETTE ACTION NI CETTE PHRASE NE FAIT PARTIE DE VOTRE LANGAGE ET DE VOTRE POLITIQUE A NOTRES GRAND DESESPOIR.  ( A SUIVRE)

Réponses


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#32 Re:

2012-02-06 17:41:24

#1: -  

 

 

Liste des Responsables UMP impliqués dans des histoires de corruption

 

http://img.over-blog.com/600x486/4/23/42/31/28/r9knxrkj.jpg...



Voila pour quel genre de gens nous vontons. Voila à ressemble notre « Démocratie »….. et il y en a tout autant au PS et dans les autres partis.

Si l’on est obligé d’élire des représentants, ne pourrait-on pas trouver des personnes intègres en France  et avoir vraiment le choix ?

Alain Agostini (UMP) 2008, condamné pour proxénétisme aggravé en bande organisée.

Alain Carignon (UMP) 1999, condamné pour corruption, abus de biens sociaux et subornation de témoins.

Alain Ferrand (UMP) 2006, condamné pour faux et usage de faux. 1998, condamné pour prises illégales d’intérêts et condamné pour fraude fiscale.

Alain Juppé (UMP) 2007, condamné pour abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt.

Alain Tuduri (UMP) 2009-2010, condamné pour discrimination raciale, pour avoir préempté les biens immobiliers que voulait acheter des personnes d’origines étrangères dans sa commune.

Axel Poniatowski (UMP) 2010, condamné pour diffamation.

Brice Hortefeux (UMP) 2010, condamné pour atteinte à la présomption d’innocence. Il a également été condamné pour injure non publique envers un groupe de personnes à raison de leur origine. Le Parquet Général a requis sa relaxe, la décision a été mise en délibéré au 15 septembre.

Brigitte Barèges (UMP) 2011, condamnée pour refus de mariage.

Bruno Sandras (UMP) 2011, condamné pour détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts.

Charles Fabre (UMP) 2010, mis en examen pour favoritisme.

Charles Pasqua (UMP) 2009 à 2010, condamné pour trafic d’influence, pour favoritisme, pour faux, financement illégal de campagne et abus de confiance. Il est cité dans l’affaire de recel d’abus de biens sociaux pour l’association France Afrique Orient. Il également mentionné dans l’affaire du financement occulte du ministère de l’Intérieur et de l’Union des groupements d’achats publics.

Christian Vanneste (UMP) 2006 et 2007, condamné pour propos homophobes, condamnation confirmée par la Cour d’Appel puis annulée par la Cour de Cassation. Il avait déclaré l’homosexualité inférieure à l’hétérosexualité et que l’homosexualité était une menace pour l’humanité.

Claude Polony (UMP) 2001-2009, reconnu coupable de prise illégale d’intérêt, favoritisme et détournements de fonds.

Daniel Simonpieri (FN puis UMP), condamné pour favoritisme, fausses factures et emploi fictif. Il avait déjà été condamné pour harcèlement moral.

Damien Meslot (UMP) 2010, condamné pour outrage à magistrat, mis en examen pour atteinte ou tentative d´atteinte à la sincérité d´un scrutin.

Denis Gautier-Sauvagnac (UMP) 2008, mis en examen pour blanchiment d’argent.

Denis Jacquat (UMP) 2011, condamné pour abus de confiance et infraction à la législation sur le financement des campagnes électorales.

Didier Schuller (RPR-UMP) 1994, il s’enfuit aux Bahamas après la révélation d’une tentative de déstabilisation du juge Éric Halphen puis il continue sa cavale en Dominique Républicaine où il bénéficie d’une protection diplomatique, avant de revenir en France.

2005, condamné pour financement illégal de sa campagne.

2007, condamné pour avoir fait financer de façon occulte des activités politiques.

Dominique Paillé (UMP) 2004, condamné pour abus de confiance.

Frédéric Chazal (UMP) 2010, condamné pour diffamation.

Gaston Flosse (UMP) 2011, condamné pour détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts.

Georges Tron (UMP) 2011, mis en examen pour harcèlement sexuel, agression sexuelle et viol.

Gérard Dezempte (UMP) 2006, condamné pour discrimination.

Gérard Larrat (UMP) 2011, condamné pour constitution de partie civile abusive ou dilatoire dans le but de nuire à son adversaire socialiste.

2011, mis en examen pour complicité d’atteinte à la sincérité du scrutin, complicité de faux administratif et usage et complicité de manœuvre frauduleuse tendant à l’exercice irrégulier du vote par procuration, son élection a été annulée.

Gilles Forray (UMP) 2006, condamné pour corruption passive et recel d’abus de biens sociaux.

Guy Drut (UMP) 2005, condamné pour avoir bénéficié d’un emploi fictif.

Guy Wildenstein (UMP) 2011, mis en examen pour recel d’abus de confiance.

Henry Chabert (UMP) 2002, condamné pour recel d’abus de biens sociaux.

Jacques Blanc (UMP) 2009, mis en examen pour détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêt.

Jacques Masdeu-Arus (UMP) 2006 à 2009, condamné pour corruption passive et recel d’abus de biens sociaux.

Jacques Myard (UMP) 2009, condamné pour diffamation.

Jean Reynaud (UMP) 2004, condamné pour prise illégale d’intérêt. 2006, condamné pour harcèlement moral et dégradation des conditions de travail.

Jean Tiberi (UMP) 2009, condamné pour occupation illégale des locaux de sa permanence et fraude aux électeurs.

Jean-Louis Garnier (UMP) 2011, condamné pour coups et blessures.

Jean-Louis Masson (UMP) 1997, condamné pour avoir financé la campagne d’un concurrent afin d’affaiblir sa rivale à droite.

Jean-Paul Alduy (UMP) 2008, son élection est annulée pour fraude.

Jean-Paul Fournier (UMP) 2009 à 2010, condamné pour prise illégale d’intérêt.

Joëlle Ceccaldi-Raynaud condamnée (UMP) 2006, condamnée pour diffamation et complicité de diffamation.

Joëlle Ferrand (UMP) 2010, condamnée pour prise illégale d’intérêt et malversations.

Laurence Spicher-Bernier (UMP) 2010 à 2011, condamnée pour exercice illégal de la profession d’avocat et escroquerie.

Lionel Cressiot (UMP) 2011, mis en examen pour injures et diffamation.

Lucette Michaux-Chevry (UMP) 2002, condamnée pour favoritisme dans l’attribution de marchés publics.

Manuel Aeschlimann (UMP) 2009, condamné pour favoritisme dans l’attribution d’un marché public.

Marie-Jeanne Bozzi (UMP) 2002, condamnée pour proxénétisme aggravé, association de malfaiteurs et dissimulation de travail clandestin.

2007, condamnée pour soustraction au paiement de l’impôt, omission de déclaration et fraude fiscale.

2009, mise en examen pour association de malfaiteurs en vue de la commission d’un homicide en bande organisée.

Maurice Gutman (UMP) 2010, condamné pour proposition sexuelle à une mineure de 12 ans.

Michel Buillard (UMP) 2011, condamné pour détournement de fonds publics et prise illégale d’intérêts.

Michel Habig (UMP) 2006, condamné pour avoir fait incendier 14 caravanes appartenant à des Roms installées sur un terrain municipal.

Nicolas Bazire (UMP) 2011, mis en examen dans le cadre de l’affaire Karachi.

Olivier Deleu (UMP) 2011, mis en examen pour injures et diffamation.

Olivier Rey (UMP) 2008, condamné pour violences, menaces et dégradation grave du bien d’autrui à raison de la religion.

Pascal Buchet (UMP) 2007-2011, condamné pour harcèlement moral ayant mené au suicide.

Patrick Balkany (UMP) 2003, condamné pour injure publique et pour diffamation. 1999, condamné pour avoir rémunéré aux frais du contribuable trois personnes désignées comme des employés municipaux mais qui ne s’occupaient que de son appartement de Levallois-Perret et de sa résidence secondaire près de Giverny.

Philippe Brun (UMP) 2011, condamné pour fraudes et multiples abus de biens sociaux.

Pierre Bédier (UMP) 2009, condamné pour corruption passive et recel d’abus de biens sociaux.

Philippe Pemezec (UMP) 2010, condamné pour injures. 2007, condamné pour irrégularités lors de sa campagne, son élection sera annulée.

Renaud Donnedieu de Vabres (UMP) 2004, condamné pour blanchiment d’argent.

2011, mis en examen dans le cadre de l’affaire Karachi.

René Vestri (UMP) 2009, condamné pour travail dissimulé.

2010, mis en examen pour blanchiment à titre habituel et en bande organisée, trafic d’influence et association de malfaiteurs.

Richard Cazenave (UMP) 1999, condamné pour abus de biens sociaux.

2004, condamné pour recel et complicité d’abus de biens sociaux.

Serge Dassault (UMP) 1998, condamné pour corruption. 2010, condamné pour procédure abusive.

2009, condamné pour avoir acheté des voix lors des municipales.

Thérèse Aillaud (UMP) 2002, condamnée pour détournement de fonds publics.

Thierry Gaubert (proche de l’UMP, collaborateur de Sarközy) 2008, mis en examen pour abus de biens sociaux et escroquerie.

2011, mis en examen dans le cadre de l’affaire Karachi.

Thierry Leprince (UMP) 2007, condamné pour viol sur une mineure de 12 ans.

Vincent Toni (UMP) 2008 et 2011, condamné pour corruption passive.

Xavier Dugoin (UMP) 1997, condamné pour trafic d’alcool, salaires fictifs et corruption.1999 à 2000, condamné pour abus de confiance, détournement de fonds publics, falsification de documents administratifs et prise illégale d’intérêt.2001, mis en examen dans le cadre de l’affaire des emplois fictifs du conseil général de l’Essonne, cette procédure sera annulée pour vice de forme.

2010, un cadre de l’UMP dont le nom n’a pas été diffusé a été mis en examen pour vol de carte bancaire d’un ancien dirigeant et pour le piratage, lors de la guerre interne à l’UMP 31, de l’ordinateur de l’ex-présidente Christine de Veyrac.Les policiers ont retrouvé des objets acquis frauduleusement au domicile du jeune homme.

L’UMP condamnée pour atteinte au droit à l’image avec son LipDub en diffusant pour le clore la photo d’une jeune femme n’y ayant pas consenti.

L’UMP, à l’origine de la loi Hadopi, condamnée pour piratage d’une musique de MGMT utilisée lors de leurs meetings et pour illustrer plusieurs vidéos diffusées sur Youtube.

  Et nous ne citerons pas bien sûr les innombrables “non-lieu” ou “affaires classées sans suite” par la bienveillance de certains magistrats…

 

Source: marche-paris-2012


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#46 Re:

2012-02-18 01:11:17

#1: -  

 

Les Lejaby, "persona non grata" au premier meeting de Nicolas Sarkozy

 

De notre envoyée spéciale à Annecy. Les salariées de Lejaby se sont vu refuser l'accès au premier meeting de campagne du candidat Sarkozy, hier soir à Annecy.

Bloquées par des cars de CRS à quelques centaines de mètres de l'entrée de la salle, les syndicalistes ont du se contenter d'une manifestation en marge de la rencontre, qui a rassemblé près 300 personnes, déployant des banderoles "Les oubliées de Lejaby". "S'il est notre sauveur , comme il se présente, de quoi a-t-il peur ?", s'interroge Brigitte Figueroa, salariée du site de Bellegarde.

"Quand je l'entend faire son numéro à la télévision, ça me met dans une colère noire. Cela va bientôt faire un an qu'on se bat. Aucune solution n'a été apporté aux autres sites. Sarkozy a dit qu'il qu'il n'oublierait pas les autres personnes de Lejaby. On l'attend",  explique la syndicaliste de la CGT. Bien décidée à "mener le combat jusqu'au bout", Brigitte se félicite qu'avec ses amies, elles ont tout de même obligé les cars de militants UMP à s'arrêter.

"Ils ont été forcés d'y aller à pied",  raconte-t-elle, les sarkozystes étant accueillis par leurs slogans: " Lejaby, c'est pas fini. Sarko tu dis des conneries".  En campagne, le candidat de la droite ne pourra plus se contenter de figurants.

http://www.humanite.fr/politique/les-lejaby-persona-non-grata-au-premier-meeting-de-nicolas-sarkozy-490394


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#48 Re:

2012-02-24 00:20:54

#1: -

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Source : CGT Goodyear


 

Nous vous informons de la présence sur notre parking usine Amiens nord, d'Arnaud MONTEBOURG ce vendredi 24 Février 2012 à 14.00 heures.
Nous serons présents à ce rendez-vous, afin de poser des questions et surtout recueillir les réponses, la CGT Goodyear tout comme les salariés n'ont pas accepté les propos d'un ministre qui vient après 5 années de lutte demander à ce que nous acceptions ce que nous avons justement combattu, toutes les voies qui s'élèveront contre ce coup de couteau porté à la lutte de classe que nous menons seront les bien venues.
Xavier Bertrand, sur instructions de l'Elysée, veut mettre le feu aux poudres dans le dossier GOODYEAR, le Ministre du Travail cherche a stigmatiser la position de notre syndicat. Il ne tolère pas la victoire que nous avons arraché au groupe Etats-uniens après 5 ans de luttes. L'exemple des GOODYEAR qui empêchent leur licenciement est trop dangereux. C'est pourquoi, constatant que la direction recule, le Ministre tente de provoquer les licenciements. Les salariés sont ulcérés. Sarkozy et son gouvernement, ont manifestement décidé de faire du site GOODYEAR d'Amiens nord l'un des thèmes de leur campagne en se livrant a une provocation dont le but est de faire capoter les négociations afin de présenter la CGT à la fois comme la cause du "blocage" et l'illustration concrète de l'irresponsabilité des syndicats. Le Ministre espérait probablement que nous tombions dans son piège en renvoyant GOODYEAR et Sarkozy dos à dos. Il risque d'être décu ! Non seulement nous allons poursuivre les discussions, mais la bataille des salariés de GOODYEAR contre Sarkozy et ses 800 licenciements ne fait que commencer.
Nous attendons la visite d'autres acteurs majeurs de la présidentielle, nous ne voulons pas politiser notre combat, juste remettre en place ceux qui par leurs propos apportent une preuve de plus qu'il faut du changement et vite, faute de quoi l'industrie made in France fera partie du passé, pour le plus grand bonheur des multinationales…