Panneaux photovoltaïques, éolienne, chauffe eau solaire, géothermie, méthanisation voilà les énergies qui sont aujourd'hui à développer. Le gaz de schiste appartient aux énergies sales, créatrices de gaz à effet de serre + des impacts environnementaux inconnus et non contrôlables.

Et bien sur qui c'est qui veut développer ces énergies? Toujours les mêmes, les grosses sociétés capitalistes qui corrompent l'ensemble de nos hommes politiques et de nos institution censées protéger notre environnement, afin de générer des bénéfices colossaux au détriment de notre planète.

Alors NON AU GAZ DE SCHISTE !!!

#7861: jean-bernard bresson - Oui aux énergies renouvelables, Non au gaz de schistes! 

 Il y a quelques années, un spécialiste disait qu'il fallait que les grands groupes prennent eux-mêmes la voie du renouvelable pour diminuer la pression du lobby pétrolier. On peut aujourd'hui visiter leur site internet et voir quels ont été leurs choix. ils affichent un intéret environnemental et sociétal mais c'est leur orientation sur les énergies renouvelables qui fait la différence. cetains misent tout sur les nouvelles techniques comme la fracturation en grande profondeur. Il n'y a pas que des exploitations aux USA et au Canada, des permis ont déjà été accordés et des travaux effectués en Afrique du nord par exemple. Une compagnie européenne semble s'investir un peu plus ( mais encore si peu! ) dans le partenariat avec des sociétés qui fabriquent, installent ou distribuent de l'énergie renouvelable. Il est difficile de changer le système du jour au lendemain. Si une seule compagnie ne joue pas le même jeu, ses actions ne vont-elles pas en pâtir? Quelle sera la réaction des actionnaires? Accepteront-ils de gagner moins par souci d'éthique? Chaque fois que nous consommons du pétrole, le gouvernement engrange des taxes. En gagnera-t-il autant avec des sources diversifiées d'énergie? Et tout un tas d'autres questions encore.

Le dossier est vaste. La pollution causée par les énergies fossiles n'est qu'une partie des dérèglements engendrés par l'activité humaine. Une seule compagnie, un seul pays ne peut proposer La solution. Nous avons aujourd'hui GIEC, IPBES, IRENA et autres organisations internationales. Les états ont donc pris conscience de ces questions mais personne ne veut faire le premier pas tout seul. Il est temps pour l'Europe de choisir son chemin et pour nous citoyens d'indiquer ce que nous voulons et à quel prix.