Non à une ZAC de 200 Ha à Baziège et Montgiscard.
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/ #132012-04-26 15:28A FOND LA PERIURBANISATION !!! La mode est aux ZAC, aux déviations, aux lotissements, aux pavillons qui poussent de ci, de là, dans toutes les campagnes françaises que vous soyez du Nord, du Sud, de l’Ouest, de l’Est, du Centre, d’en haut et d’en bas. On dirait que les élus se sont passés le mot : bitumer à tout va est devenue leur violon d’Ingres, souvent soutenus par la majorité de la population qui veut des routes, des autoroutes, des deux fois deux voies,…qui veut aussi vivre à la campagne, mais sans les inconvénients, proche du périphérique (chez le voisin de préférence quand même), pas encore construit mais ça ne saurait tarder, avec tous les commerces à proximité, pas l’artisanat mais plutôt les chaînes de magasins les plus connues que l’on retrouve partout sur le territoire et pour lesquelles il faudra construire la ZAC (également chez le voisin de préférence), pas encore là mais ça ne saurait tarder aussi. Ah oui, c’est vrai, il faut sauver l’école du village et éviter de fermer une classe. Alors on fait un lotissement de plus, voire deux, peut-être trois et quelques pavillons, un ici, un par là…et puis quand les bambins des nouveaux venus seront en âge d’aller au lycée…il faudra revoir le PLU (Plan Local d’Urbanisme) pour à nouveau rajouter au paysage rural un lotissement, voire deux, peut-être trois, pour encore sauver la classe qui risque d’être fermée. Pendant ce temps, dans les campagnes, du moins ce qu’il en reste, il y a la déprise agricole : les jeunes ne veulent pas rester au village où ils sont nés. Pourquoi ? On ne sait pas trop. Peut-être parce que le métier d’agriculteur est devenu trop dur, mal perçu par le reste de la population ? La faute à qui ? Aux autres agriculteurs, ceux qui ont eu les reins les plus solides à l’époque de la mécanisation agricole. Ils ont engloutis les plus petits paysans, rachetés leurs terres, remembrés les parcelles, détruits les haies pour faire de la grande culture : ils labourent, re-labourent et re-re-labourent la même parcelle, plusieurs fois dans la même année si nécessaire. Ils retournent tellement la terre qu’elle n’a plus le temps de se reposer. Alors on fait des jachères, trop éphémères pour accueillir la biodiversité qui ne sait plus où se mettre car tout disparaît. Avec l’agriculture intensive, avec l’agroforesterie intensive, avec l’implantation des ZAC, avec les nouvelles voies de communication en tous genres et leurs aménagements d’opportunité de part et d’autre, avec les parcs industriels d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques, avec le nouveau golf, avec…, avec…, c’est la grande braderie aux écosystèmes et aux espèces faunistiques et floristiques. Partout, au même moment, l’histoire se répète. Je lis ces quelques lignes adressées par un Anonyme (quand on n’a pas le courage de ses propos, on se planque derrière un pseudo) qui nous dit, à nous écologistes ou simples amoureux de la Terre que, je cite, « nous arrivons à un point de stupidité à ne pas voir le futur ». Je m’adresse à mon tour à cette personne en lui répondant : c’est vous qui n’êtes pas capable d’anticiper le futur parce que vous êtes déjà incapable de voir le présent. Sortez de votre village et allez voir des exemples de cités dortoirs, vous en trouverez déjà construites depuis plusieurs années, en cours de construction ou en projet : elles se comptent par milliers. Le scénario est toujours le même. D’abord des maisons en plus, ensuite des exigences en plus : pas d’inconvénients, que des avantages. Le message est clair : nous voulons le beurre, l’argent du beurre, le beurrier, la table qui porte le beurrier et les chaises qui vont autour. Il faudra dévier la route car, après avoir construit de part et d’autre de celle-ci, on se rendra compte qu’il y a des véhicules qui l’empruntent : tiens donc ? Alors on fera un tracé qui traversera la rivière, la forêt, le bocage, la prairie (une des dernières de la commune). Le comble, c’est que l’on considèrera le projet d’ « utilité publique », toujours pour les mêmes raisons : le désengorgement du trafic et la sécurité routière. En fait, concernant le premier point on aura simplement déplacé le problème qui maintenant sera devenu celui de ceux et celles qui avait choisi de vivre un peu à l’écart du village : on ne sera plus à quelques expropriations près pour les plus chanceux qui se verront racheter leurs maisons, celles de leurs grands-parents, voire arrière-grands-parents…quel prix pour la valeur sentimentale ? Mais à quoi bon parler de sentiments depuis la fin du XXème siècle et en ce début de XXIème siècle : cette notion a disparu en même temps que nos scrupules et notre respect de la Vie. Les moins chanceux n’auront plus qu’à se faire cuire un œuf : ils auront droit à des aménagements pour amoindrir le bruit des véhicules qui passeront tous près de chez eux et qui auront rendu leur maison d’une valeur immobilière minable. Et pour autant, on n’aura pas résolu le problème du trafic routier, principalement composé de poids-lourds étrangers qui trimballent de la bouffe qu’on aurait pu produire sur place (tiens, ça aurait pu procurer du boulot à nos chômeurs), précisément là où on a construit le lotissement peuplé de gens qui prennent le train tous les matins pour aller bosser sur Paris ou ailleurs, dans d’autres grandes villes, parce que du travail, sur place, il y’en a pas. Quant à la sécurité routière, je ne vois pas de différence entre une route et une autoroute : c’est d’ailleurs très souvent sur les voies les plus larges que les accidents les plus mortels ont eu lieu. Parce que les gens sont comme ça : s’ils ont un accident, ce n’est pas parce qu’ils roulent bourrés, ou parce qu’ils vont trop vite, ou parce qu’ils ne respectent pas les distances de sécurité…c’est parce que l’arbre n’était pas au bon endroit ou parce que la route est mauvaise…pas le conducteur. Et puis, il faudra la ZAC. Alors, les villageois n’iront plus au centre bourg pour faire leurs courses. A proximité de la déviation, pas trop loin des nombreux ronds-points, seront placées les enseignes les plus récurrentes de notre paysage économique qui, lui aussi, s’uniformise. Les restaurants et les petits commerces fermeront à leur tour ou verront leur bénéfice s’effondrer. Partout le même scénario, parce que les élus veulent des solutions rapides : leur mandat est trop court. Alors, il vaut mieux soigner les symptômes plutôt que de se pencher sur les problèmes de fond : quels systèmes agricoles pourraient être conçus afin d’inciter la population locale de rester ? Que peut-on faire pour améliorer les conditions de travail des agriculteurs ? Que peut-on faire pour lutter contre la déprise agricole ? Quelle type d’exploitation peut-on concevoir à échelle humaine pour le bien être de l’exploitant et qui mobilisera de la main d’œuvre locale ? Idem pour l’agroforesterie, idem pour l’artisanat, idem pour la santé…et que sais-je d’autre encore ? Et puis, il y a la Nature, le truc dont tout le monde a l’air de se foutre. Parce que l’Homme est au dessus de la Nature : il est la créature divine. Alors, comme le dit si bien la pub Husqvarna, maîtrisons là cette putain de Nature !!! Allons-y gaiement ! Bitumons et bétonnons le sol : rendons-le imperméable ! Et là, lorsqu’il pleuvra, l’eau ne s’infiltrera plus : elle coulera aussitôt vers la rivière, ou le ruisseau, ou le fleuve. Il n’y aura plus de haie, ni de ripisylve, ni de zone humide (tourbières, marais, prairies inondables,…) pour retenir l’eau de surface et contribuer au soutien du débit d’étiage, pour épurer l’eau, pour prévenir des inondations,…. Et là, nous nous étonnerons des pertes humaines et des dégâts matériels. L’eau ne rejoindra plus les nappes phréatiques alors que, pourtant, nous continuerons à pomper dedans comme des bourrins pour arroser sa majesté le maïs ou le blé…OGM de préférence…tant qu’à aller au bout de la connerie, autant ne pas s’en priver. On se plaindra de la sécheresse, mangeant la banane par les deux bouts, soit d’un côté où nous polluerons, industrialiserons, urbaniserons toujours davantage pendant que de l’autre côté nous détruirons les milieux naturels ou autres éléments du paysage capable de recycler l’eau, l’air, la Vie. Pas de flotte dans le sous-sol, pas de flotte dans les cours d’eau ou trop d’un coup, il semblerait que nous aimions passer d’un extrême à l’autre. Alors, pour compenser nos impacts, il faudra construire une station d’épuration bien que la zone humide qui était là à l’époque remplissait déjà cette fonction gracieusement, et bien d’autres encore : vous paierez votre facture d’eau avec la part d’assainissement en conséquence, proportionnellement élevée à la quantité de polluants résorbés. Et l’air ? Ça compte l’air pour vous ? Il semblerait que seuls les écolos aient pris conscience qu’ils respirent chaque jour, au même titre qu’ils sont les seuls à connaître cette règle : un être humain doit consommer deux litres d’eau par jour pour vivre. Ainsi pour l’air, c’est le même topo que pour l’eau : sans milieux naturels, pas d’accomplissements des grands cycles biogéochimiques tels que, par exemple, l’azote (principal constituant de l’air : environ 80 %), l’oxygène (autre principal constituant de l’air : environ 20%) et le dioxyde de carbone (principal gaz à effet de serre). Il ne faudra pas s’étonner non plus de respirer de la pollution, invisible à l’œil, donc sans intérêt pour la majorité des personnes, apparemment (j’espère me tromper), et de voir notre climat bouleversé : pluies diluviennes, vents violents, tempêtes, mini-tornades, saisons décalées ou profondément modifiées,… Que dire de la biodiversité quand déjà l’argumentaire autour de l’eau ou de l’air vous passe à dix milles kilomètres au dessus de la tête : sans pollinisateurs (abeilles, bourdons, papillons,…), pas de fécondation des fleurs, donc pas de fruits. Les déséquilibres engendrés dans les chaînes alimentaires (notamment parce qu’il nous plait d’exploser la tronche aux prédateurs) conduiront inexorablement à des disparitions d’espèces et à des pullulations d’autres espèces. Je ne parlerai pas de l’aspect ludique de découvrir le monde qui nous entoure : je laisserai ça aux soins des professeurs qui, dans la classe qui sera restée ouverte grâce au nouveau lotissement d’à côté, expliquerons à nos enfants comment on les a privé de certaines choses. Que dire aussi de cette logique dramatiquement imparable qui tient de Lapalissade : plus on bitume et plus on bétonne et moins il y a d’espaces agricoles et naturels. Ainsi, plus nous sommes nombreux et moins il y a de terres pour cultiver ou élever notre alimentation ou pour remplir les fonctions biogéochimiques (cycle de l’air, cycle de l’eau,…) comme peuvent le faire les écosystèmes. Plus nous sommes nombreux et plus nous réduisons la capacité d’accueil sur Terre. Moins il y a de pétrole, et plus on l’utilise : les machines ont remplacé la main d’œuvre agricole, artisanale et industrielle…les débroussailleuses, tronçonneuses, tondeuses et gyrobroyeuses ont le vent en poupe : quel bonheur tous ces dimanches passés au gré des bruits vrombissants de nos voisins qui se torchent allègrement avec les arrêtés préfectoraux concernant les nuisances sonores…et les loisirs verts (quel cynisme) qui connaissent un franc succès : faire du quad et du moto-cross dans les chemins forestiers, que du bonheur pour les promeneurs, randonneurs ou cyclistes…les gens n’ont pas de fric, mais quand il s’agit de remplir leurs bidons de carburant, ils en trouvent. Alors, on a pensé à tout puisque nous sommes in-te-lli-gents ! Nous allons produire des carburants verts (cynisme là aussi)…où ça ? Et bien, sur l’espace agricole bien entendu. Celui-là même que nous bitumons alors que nous sommes de plus en plus nombreux ? Oui, oui ! Bientôt, nous aurons deux voitures chacun, une principale et l’autre de rechange…on bouffera de la vache maigre, mais ce n’est pas grave, on continuera à conduire…et ça, c’est mieux que tout ! Alors moi je dis basta aux ZAC, basta aux lotissements, basta aux nouvelles routes, autoroutes et déviations, basta aux soi-disant développeurs économiques qui se targuent de s’affranchir des prérogatives écologiques, ou qui font semblant de s’y intéresser, parce qu’ils pensent qu’ils sont au dessus de tout… Mais bien sûr, il faut trouver une solution pour redynamiser nos communes rurales : repensons nos systèmes économiques et sociaux et adaptons-les à l’environnement naturel, et non l’inverse. Finissons-en avec les solutions sorties du tiroir avec précipitation : l’expérience nous révèle qu’elles ne sont pas viables dans le temps. Il va falloir travailler sur le fond et ça risque de prendre du temps, justement…mais si ça en vaut la peine, c’est un risque à prendre…et croyez-le ou non, mais c’est quand même un risque moindre que celui que les politiques et développeurs sans scrupules nous font courir aujourd’hui ! Yann BATAILHOU |
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