précarité du FLE


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2014-05-27 11:39

ma fille de 25 ans consacre sa jeunesse (et sans doute sa vie, c'est comme ça la passion !)au rayonnement du français de part le monde pour un salaire de misère et dans la plus grande précarité ( même lors de ses rares retours en terre natale ) : c'est plutôt courageux pour une petite fille d'émigré polonais qui apprit le français "sur le tas" et en garda les imperfections jusqu'à sa mort, n'ayant pas eu la chance de bénéficier de cours de FLE ! Mais c'était en 1944...

Merci  Monsieur le Misnistre, de faire quelque chose pour nos enfants, vos professeurs...