précarité du FLE


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2014-05-27 04:31

Ce n'est pas pour un meilleur salaire à l'étranger que j'apporte mon soutien à cette lettre. A partir du moment où on décide de vivre dans un autre pays, de s'imprégner de sa culture, de son quotidien et de partager l'amour du français avec ses habitants, il me semble légitime d'avoir un salaire "local".
Mais en France, alors que les classe de CLIN, etc - aux sigles changeant chaque semestre - connaissent une forte demande et que de plus en plus de vacataires sont mobilisés, il serait légitime de proposer un CAPES, ou à défaut une situation plus stable et reconnue. Effectivement, l'enseignement ça ne s'improvise pas! On reconnait les compétences et les spécialités des enseignants de FLE/I dans les réseaux d'éducation prioritaire, pourquoi pas ailleurs?