Les élèves de CPGE soutiennent leurs enseignants.


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2013-11-27 18:31

J'ai effectué trois ans dans une CPGE "de province" (Hypokhâgne, khâgne, puis une année comme khûbe), et je dois admettre que je n'ai jamais retrouvé dans les années qui ont suivi une telle qualité d'enseignement, une telle ouverture d'esprit tant chez les professeurs que chez mes camarades ; la pluralité des enseignements, par ailleurs, est quelque chose qui m'a énormément manqué par la suite. Il serait grand temps d'arrêter tous les grands clichés sur la prépa ; aucun de mes camarades, que ça soit dans ma propre prépa ou dans d'autres, y compris à Paris ou en région parisienne, n'a jamais émis le quart de la moitié des critiques que certains adressent aujourd'hui aux CPGE et à leurs professeurs ; bien au contraire. Je souhaite de tout mon cœur une longue vie aux CPGE !