En lisant l'article du jour (sur Boulevard Voltaire)du fondateur du NCPC, Renaud Camus, nous voyons bien que le combat n'est pas gagné. Il ne décolle même pas. A part les "Inyaqua" et les "yfauque" on ne sent guère de volonté. Que manque-t-il?
La foi!
La foi dans la justesse du combat. La foi dans le sens de la lutte. La foi en soi. La foi en l'autre. La foi dans le groupe. Bref, nous mourons parce que nous doutons. Dieu vomit les tièdes.
La seule question que chacun doit se poser est: "Dans la situation la plus extrême, suis-je vraiment prêt à mourir pour la cause?"
Et mourir physiquement n'est peut-être pas le plus difficile...Sommes-nous prêts à mourir socialement? Sommes-nous prêts à perdre nos bien, nos réputations, l'estime des autres? Sommes-nous prêts à devenir des réprouvés et à faire honte à nos proches s'ils ne comprenaient pas nos engagements?
Sommes nous prêts à être des prisonniers politiques? Sommes-nous prêts à être abattus d'une balle dans le crâne par de sinistres commissaires politiques qui laisseront ensuite nos dépouilles à l'avidité des chiens affamés pour faire disparaître toutes traces de notre existence?
Elle est là la question!
Les fanatiques islamiques sont au-delà de nos petites considérations de confort et de respect social. Il n'ont à perdre que le Paradis croient-ils. Cela rend fort.
Dans notre camp, beaucoup ne croient même plus au paradis, ni à Dieu, ni à une après-vie. L'espérance eschatologique est pourtant inséparable des hauts combats engendrés par une foi sublimant le quotidien médiocre.
Attendrons-nous d'être tombés en esclavage pour agir? La saine colère et l'héroïsme qui en découle renaîtront-ils en nous lorsque nous verrons nos filles violées par les barbares, nos garçons éventrés par la lame des fanatiques?
Sommes-nous devenus des morts? Comment réveiller en nous les forces du vivant? Telles sont bien les questions?
Nous possédons pourtant une arme. C'est l'Esprit...les chrétiens diront l'Esprit-saint.
Les islamo-gauchistes, l'alliance infernale qui nous assaille, n'ont que la doxa. Ils sont divisés et leur alliance n'est que de circonstance. Ce qui les unit, c'est la haine de notre civilisation.
Ce qui nous rassemble, c'est l'amour de notre culture, de notre pays. C'est l'amour de ce que nous sommes.
Nous sommes Un et nous sommes mus par l'amour de ce pourquoi nous sommes prêts à nous battre.
Si nous le voulons vraiment, nous gagnerons. Nous avons déjà gagné car nous défendons la vie; au-delà des inévitables épreuves de mort, la Vie portée par notre culture enracinée dans la Révélation triomphera des cultures de mort qui nous agressent aujourd'hui.
Peut-être devons-nous réveiller en nous la Croyance pour retrouver la force de la foi?
Concrètement et dans l'immédiat, que faut-il?
Des moyens, mais surtout des engagements.
Les moyens seront ceux du combat en esprit: écrits, vidéos de ré-information, etc..mais aussi éditeurs, diffuseurs mettant leurs compétences et leurs réseaux à disposition du mouvement.
L'engagement...c'est le vôtre, amis signataires de la pétition...Engagez-vous à acquérir et à diffuser les textes élaborés dans le cadre du noble combat qui nous rapproche.
Le NCPC pourrait produire dans le prolongement de cette pétition un court manifeste pour présenter ce combat: en étoffant le texte ici présenté, par exemple. Quelques pages fortes et un prix très modique (Souvenons nous du fascicule à 3 Euros dans lequel Stephan Hessel développait son indignation bien conformiste: Trois millions d'exemplaires). Le combat pourrait commencer pour chacun de nous par l'acquisition de plusieurs exemplaires du Manifeste afin de les offrir à nos proches, à nos collègues ou à nos voisins, les sommes récupérées permettant de financer d'autres initiatives. La force, c'est le nombre...un million d'exemplaires vendus et notre combat devient médiatiquement incontournable.
Sommes-nous prêts à nous délester de quelques dizaines d'euros et à donner un peu de notre temps?
Si la réponse est non, alors restons couchés!
...et tounons notre face vers La Mecque...et offrons notre cul à nos nouveaux maïtres.
Et ainsi s'achèvera notre descente vers l'enfer des morts-vivants.
France