Pour gare (Bahnhof) TGV–TER Vandières Lorraine

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Nouvelle pétition pour Vandières

2018-02-25 17:28:45

Des personnes signent encore cette pétition, et je les en remercie. Mais l'envoi ayant déjà été fait au Président de la Région Grand Est, cela sera sans effet. Je vous demande donc de signer la nouvelle pétition lancée par un Lorrain(https://www.mesopinions.com/petition/politique/lorrains-relations-chemins-fer-monde/40034), même si vous avez déjà signé la mienne, pour servir de rappel aux élus d'avoir à prendre position. Encor merci et cordialement


Pierre DEBANO

Pas de bonnes nouvelles mais une nouvelle pétition lancée par un Lorrain

2018-02-22 10:55:05

La pétition que vous avez signée, et je vous en remercie, remise au président de la Région Grand Est et à nouveau transmise à son successeur, n'a même pas reçu un accusé de réception de leur part. Le dossier n'a pas avancé d'un pouce. Une nouvelle pétition faisant suite au rapport Spinetta vient d'être lancée par un Lorrain. La gare TGV-TER de Vandières est mentionnée. J'ai signé cette pétition (https://www.mesopinions.com/petition/politique/lorrains-relations-chemins-fer-monde/40034). Cordialement


Pierre DEBANO

Pas de bonnes nouvelles pour la gare TGV-TER de Vandières

2017-07-13 19:34:04

Pas de bonnes nouvelles concernant la gare TGV-TER de Vandières. Le Président de la Région Grand Est n’a même pas accusé réception de la pétition signée par de très nombreuses personnes, et il n’a, semble-t-il, pas donné de suite à l’avis favorable du 20 avril 2017 du CESER Grand Est « Aussi, le CESER Grand Est préconise-t-il que la gare d’interconnexion TER/TGV de Vandières soit reprise dans les priorités du Conseil Régional et réalisée dans les meilleurs délais ».   Les Nourmiches peuvent donc partir en vacances l’esprit tranquille, la gare TGV-TER de Vandières n’est pas prête de voir le jour.   Les Nourmiches (vient du germanophone nur mich, que moi !), ce sont ces Alsaciens qui ne pensent qu’à eux et à leurs intérêts. Bien qu’aujourd’hui, la majorité d’entre eux n’ont pas eu à subir le joug du Reich, ils s’accrochent à des particularités dont certaines n’ont plus aucune justification, et dont les autres Français sont exclus. Quand il s’est agi d’améliorer les relations ferroviaires avec Paris, il leur fallait un TGV qui relie le plus vite possible Paris et Strasbourg. La solution d’utiliser une partie des lignes classiques, qui n’était pas la plus rapide pour Strasbourg mais qui était la moins coûteuse et qui concernait le plus d’habitants, n’a pas été retenue. Les Champardennais et les Lorrains ont participé au financement du TGV Est, mais nombreux sont ceux qui, en contrepartie, ont vu leur desserte ferroviaire notablement détériorée. Quand il s’est agi de trouver le lieu de la capitale de la nouvelle Région Grand Est, les Nourmiches ont agi, au mépris de tous les autres citoyens de la future Région, pour que Strasbourg soit désignée d’office, déni évident de démocratie.   Aujourd’hui, les Nourmiches ont pris le pouvoir de la Région Grand Est et bloquent la réalisation de la gare TGV-TER de Vandières, pourtant nécessaire pour de nombreux Lorrains qui, eux, ne sont pas aujourd’hui connectés aux TGV inter-régions. Cette gare TGV-TER Vandières ne servirait pas leurs intérêts égoïstes !. Pourtant, tout est en place pour qu’elle soit réalisée (financement, solutions techniques).   Mais, attention, la grande majorité des Alsaciens ne sont pas des «Nourmiches ». A preuve, tous les membres du CESER Grand Est ont voté favorablement l’avis demandant la réalisation de la gare TGV-TER de Vandières dans les meilleurs délais, et il n’y a eu que 4 personnes pour s’abstenir ou voter contre.   Je vous souhaite de bonnes vacances.


Pierre DEBANO

Le CESER Grand Est à la quasi unanimité pour la gare TGV-TER de Vandières

2017-04-26 13:48:47

On peut considérer que le CESER Grand Est, avec son avis sur la gare TGV-TER de Vandières, vient de sermonner durement (une seule voix contre et 3 abstentions) le Président de la Région Grand Est, Monsieur Philippe RICHERT, pour son immobilisme sur le dossier de la gare TGV-TER de Vandières.  

« Aussi, le CESER Grand Est préconise-t-il que la gare d’interconnexion TER/TGV de Vandières soit reprise dans les priorités du Conseil Régional et réalisée dans les meilleurs délais. »  

Félicitations aux membres du CESER qui, eux, font passer l’intérêt général avant les intérêts de chapelles, et qui montrent que le Grand Est sera plus fort, au niveau international, avec un traitement équitable de tous ses territoires.  

Il ne reste plus au Président de la Région Grand Est, Monsieur Philippe RICHERT, qu’à prendre ses responsabilités en décidant de traiter ce dossier.  

Voir http://infodujour.fr/politique/7764-le-ceser-se-prononce-en-faveur-de-vandieres.html  

Merci, vos signatures, mais aussi le dévouement inlassable de Michel VOGT depuis de nombreuses années, n’y sont pas pour rien.


Pierre DEBANO

Réponse aux arguments des personnes contre la gare TGV-TER de Vandières

2017-03-11 10:04:31

Plusieurs personnes m'ont adressé par courriel les raisons pour lesquelles elles ne signeraient pas la pétition, étant contre la gare TGV-TER de Vandières. Voici le courriel que je leur ai adressé.   Madame, Monsieur   Vous avez eu l’amabilité de m’écrire pour me signaler votre opposition à la gare TGV – TER de Vandières. Pour vous en remercier, je voulais attendre l’envoi du résultat de la pétition, 482 signataires, à M. Philippe RICHERT, Président de la Région Grand Est. Ces signatures viennent conforter celles déjà obtenues par le passé par diverses personnes attachées à la réalisation de la gare TGV-TER de Vandières, et les motions signées par plus de 160 municipalités qui représentent plus de 600 000 habitants   Les arguments avancés contre la réalisation de la gare de Vandières peuvent être classés en 4 grands thèmes :  

1 – La bonne accessibilité de Louvigny

- cela va pénaliser les habitants proches de l’actuelle gare de Louvigny (zone à l’est de Metz vers l’Allemagne) qui devront faire 20 km de plus en voiture ou prendre des TER, ce qui allongera leur temps de parcours,

- Louvigny est ultra accessible en voiture, - la desserte actuelle de Louvigny avec les navettes routières fonctionne bien.  

2 – Les Lorrains se sont exprimés et n’en veulent pas

- la consultation a déjà eu lieu (sous-entendu la dernière organisée par M. Masseret) avec résultat contre,

- il y a eu un référendum dont le résultat a été de refuser la gare à Vandières.  

3 – La gare de Vandières n’apportera rien pour les relations interconnexion et dégradera les relations avec Paris

- la capacité de la voie Nancy Metz est insuffisante et la gare de Vandières amènera à supprimer des TGV au départ de Metz et Nancy,

- pour les relations interconnexion, utiliser les TGV actuels au départ de Nancy et Metz donne de bons temps de trajet.  

4 – Le refus de dépenser de l’argent    

Tout d’abord, sur un plan purement technique, l’interconnexion directe du TGV et du TER est un atout considérable, diffusant l’effet TGV dans toute une région et à toutes les personnes, disposant ou non d’un véhicule automobile. Les gares dites «betteraves » ont montré leurs limites. Si la SNCF n’avait pas déclaré à l’époque, par la voix de son Président, M. ESSIG, que la réalisation de cette gare était «techniquement » impossible, la suite ayant démenti de façon cinglante ce propos irresponsable, cette gare existerait aujourd’hui. La gare de Louvigny, qui devait être provisoire, a été réalisée, avec pour conséquence un accès obligatoire en voiture ou en car, coûteux et pénible, pour toute personne qui veut utiliser un TGV d’interconnexion ou un TGV desservant Strasbourg ou l’Allemagne, et d’autant plus coûteux et pénible qu’on habite, ou que l’on se rend, loin de la gare de Louvigny. Tout est en place pour que la gare TGV – TER de Vandières soit construite. La faisabilité technique est démontrée, la DUP prononcée, les terrains nécessaires achetés, des travaux préparatoires à hauteur de 23 millions d’euros ont déjà été réalisés et les financements pour la terminer, de l’ordre de 120 millions d’euros, sont assurés.    

1- En ce qui concerne l’accessibilité à Louvigny  

Tous ceux qui habitent loin de Louvigny et qui sont obligés, pour la rejoindre, d’utiliser l’A31 saturée, d’autant plus dangereuse quand les conditions atmosphériques sont mauvaises, apprécieront le commentaire vantant « l’ultra accessibilité de Louvigny en voiture ». Bien évidemment, le transfert de la gare Lorraine à Vandières va bénéficier à une partie, mais va pénaliser une autre partie des utilisateurs actuels, ceux qui en sont tout près, et qui devront alors aller soit à Vandières à 17 km, soit à Forbach. Mais c’est l’intérêt général qui doit primer, et il y a bien plus de personnes qui vont être gagnantes avec le transfert que celles qui vont y perdre.  

2 – En ce qui concerne les Lorrains qui ont dit non à Vandières  

Tout d’abord, il convient de noter que lors de l’enquête publique, les Lorrains ont dit oui. La DUP a été prononcée sans levée de boucliers. Alors, M. Masseret a cru bon d’organiser une consultation qui a donné pour résultat une légère majorité d’un faible nombre de votants contre la gare de Vandières. Mais on devrait plutôt parler d’une « inorganisation». Il y avait deux questions dans l’unique question posée, la création de la gare de Vandières et la transformation en gare fret de la gare TGV de Louvigny, ce qui associait une chose intelligente et une chose stupide. Comment pouvait-on voter oui pour Vandières sans voter également oui pour une chimère, la gare TGV Fret ? Il y avait aussi un très petit nombre de bureaux de vote. Comment admettre que cette consultation pourrait, dans ces conditions, annuler le résultat de l’enquête publique ?  

3 – En ce qui concerne les dégradations apportées par la création de Vandières  

Aujourd’hui, un trajet Lorraine TGV- Bordeaux prend 5H24 et ce sera le même temps pour Vandières, à 2 mn près. Pour rejoindre Vandières en train depuis Nancy, il faudra, au pire, 30 mn. C’est-à-dire que, correspondance comprise, il faudra au plus 6h15 pour un trajet Nancy - Bordeaux. Aujourd’hui, un trajet Nancy - Bordeaux prend 6h18, mais avec une correspondance particulièrement pénible à Paris par le métro.   En ce qui concerne la capacité de la voie Nancy - Metz, la SNCF expliquait, avant l’arrivée du TGV, que la ligne Nancy Metz était saturée et que, sans 3e voie entre Pagny sur Moselle et Nancy, il serait impossible de faire rouler les TGV prévus. Vous avez vu une 3e voie réalisée? Et pourtant, non seulement les TGV circulent, mais en plus, il y a aujourd’hui plus de TER. Compte tenu du nombre de TER qui circulent aujourd’hui entre Nancy et Metz, on peut penser qu’ils suffiront pour assurer la desserte de Vandières. En ce qui concerne la suppression de TGV directs Paris - Metz ou Paris - Nancy, ce ne sont que des suppositions non étayées, et sans doute fortement improbables d’un point de vue commercial, amenant les temps de trajet Paris - Nancy à environ 2H00, temps qui aurait pu être obtenu par la ligne classique avec des trains pendulaires et des aménagements de voie.  

4 – Oui, il faut dépenser de l’argent  

Alors, oui il faut dépenser de l’ordre 120 millions d’euros pour réaliser la gare TGV-TER de Vandières. Mais c’est un investissement pour 100 ans !. Bien évidemment, la grande majorité des Lorrains pourrait continuer à vivre sans la gare TGV-TER de Vandières, comme d’ailleurs tous les Lorrains vivaient sans autoroute jusque dans les années 70. Mais si l’on veut qu’une grande partie de la Lorraine se trouve dans la même situation que des villes qui avaient refusé le chemin de fer au 19e siècle, alors il faut que nos élus aient la même attitude aujourd’hui, que ces élus aussi peu clairvoyants d’avant-hier, et ne fassent pas Vandières.   Je vous adresse mes salutations


Pierre DEBANO

Un grand merci

2017-03-07 13:56:35

Un grand merci pour avoir apporté votre signature de soutien à cette pétition pour la réalisation de la gare TGV-TER de Vandières.   Je viens d’adresser un courriel à M. Philippe RICHERT, Président de la Région Grand Est, avec les résultats.   La pétition, lancée sur 2 sites, a recueilli 482 signatures, dont 69 sur papier grâce à l’action d’une personne, qu’elle en soit remerciée, ayant décidé de permettre à des personnes n’ayant pas internet de la signer.   Ces signatures viennent conforter celles déjà obtenues par la passé par diverses personnes attachées comme moi à la réalisation de la gare TGV-TER de Vandières, et les motions signées par plus de 160 municipalités qui représentent plus de 600 000 habitants.   Cordialement


Pierre DEBANO

Plus que quelques jours avant envoi au Président de la Région

2017-02-23 23:09:55

Tout d'abord un grand merci pour avoir signé. Il ne reste plus que quelque jours avant envoi au Président de la Région Grand Est, alors que ceux qui voulaient signer, mais qui ne l'ont pas encore fait, se dépêchent.

Ci-dessous la publication de BLE Lorraine qui contient une réponse à certains arguments avancés par des personnes qui sont contre cette gare.

http://www.blelorraine.fr/2017/02/gare-tgv-ter-de-vandieres-nest-jamais-tard-bien-faire-choses/
Gare TGV-TER de Vandières : « il n’est jamais trop tard pour bien faire les choses »
Date :février 23, 2017
dans :Transports, Tribune
A l’origine de deux pétitions citoyennes en ligne sur change.org et sur petitions24.net pour faire aboutir le projet de gare d’interconnexion TGV-TER en Lorraine, Pierre Debano, spécialiste des transports ferroviaires et ancien adjoint au Maire de Nancy de 1977 à 1983, relance le débat Vandières-Louvigny. Il répond à nos questions.
BLE Lorraine : Quel sens donnez-vous à votre initiative avec cette pétition ?
Pierre Debano : « L’objet de la pétition, qui s’adresse à M. Philippe Richert, Président de la région Grand Est, est d’éviter que la Gare TGV-TER de Vandières ne soit pas réalisée parce qu’on aura laissé le dossier s’enfoncer dans la léthargie, sans prise de décision formelle de la part du Conseil Régional. Il faut que, soit on réalise cette gare, suite logique d’une enquête publique favorable, d’une DUP (Déclaration d’Utilité Publique) et du financement assuré, soit on décide, malheureusement, sa non-réalisation par un vote du Conseil Régional.
Cet initiative résulte du sentiment que le dossier était enlisé (il l’est toujours), malgré l’action méritoire de quelques personnes qui ont obtenu de nombreux soutiens de municipalités et de citoyens. L’action d’une personne, qui jusqu’à présent ne s’était pas investie sur le sujet, peut être de nature à relancer ce dossier. »
BLE Lorraine : Pourquoi soutenez-vous le projet de Gare d’interconnexion TGV-TER de Vandières ?
PD : « Tout d’abord, sur un plan purement technique, l’interconnexion directe du TGV et du TER est un atout considérable, diffusant l’effet TGV dans toute une région et à toutes les personnes, disposant ou non d’un véhicule automobile. Les gares dites «betteraves » ont montré leurs limites. Si la SNCF n’avait pas déclaré à l’époque, par la voix de son Président, M. Essig, que la réalisation de cette gare était « techniquement » impossible, la suite ayant démenti de façon cinglante ce propos irresponsable, cette gare existerait aujourd’hui. La Gare de Louvigny, qui devait être provisoire, a été réalisée, avec pour conséquence un accès obligatoire en voiture ou en bus, coûteux et pénible, pour toute personne qui veut utiliser un TGV d’interconnexion ou un TGV desservant Strasbourg ou l’Allemagne, et d’autant plus coûteux et pénible qu’on habite, où que l’on se rend, loin de la Gare de Louvigny.
Tout est en place pour que la Gare TGV-TER de Vandières soit construite. La faisabilité technique est démontrée, la DUP prononcée, les terrains nécessaires achetés, des travaux préparatoires à hauteur de 23 millions d’euros ont déjà été réalisés et les financements pour la terminer, de l’ordre de 120 millions d’euros, sont assurés.
Sur un plan d’équité sociale, il n’est pas normal qu’une partie de la population soit privée de transports performants, alors qu’elle a participé par ses impôts au financement du TGV Est-européen.
Alors, effectivement, la grande majorité des Lorrains pourra continuer à vivre sans la Gare TGV-TER de Vandières, comme d’ailleurs tous les lorrains vivaient sans autoroute jusque dans les années 1970. Mais est-il normal de les priver du progrès ? »
BLE Lorraine : N’est-il pas trop tard ? La Gare de Vandières peut-elle encore ce faire ?
PD : « D’abord, il n’est jamais trop tard pour faire bien les choses et terminer ce qui a été commencé. Et tout est en place, la possibilité technique, les terrains, les financements, etc. pour la réaliser. Il ne manque qu’une décision pour la faire. Mais si l’on veut qu’une grande partie de la Lorraine se trouve dans la même situation que des villes qui avaient refusé le chemin de fer au XIXème siècle, alors il faut avoir la même attitude, aujourd’hui, que ces élus aussi peu clairvoyants d’avant-hier. »
BLE Lorraine : Que répondez-vous aux pro-Louvigny ?
PD : « Bien évidemment, le transfert de la Gare Lorraine TGV à Vandières va bénéficier à une partie, mais va pénaliser une autre partie des utilisateurs actuels, ceux qui en sont tout près, et qui devront alors aller soit à Vandières, soit à Forbach. Mais j’ai participé par mes impôts à la réalisation du TGV Est, bénéfique pour une partie des Lorrains et des Alsaciens, et j’ai subi parallèlement une diminution de 40 % du nombre de trains dans ma gare d’Epernay. La solidarité, c’est prendre en compte l’intérêt général.
Il y a des gens qui ne sont pas pro-Louvigny, mais anti-Vandières, parce qu’on (la SNCF ?) leur a expliqué que si Vandières se faisait, cela saturerait les gares de Nancy et de Metz, et que cela supprimerait des TGV directs Paris-Metz ou Paris-Nancy. La SNCF avait expliqué en son temps que Vandières TGV-TER était techniquement impossible. Avant l’arrivée du TGV, la SNCF expliquait que la ligne Nancy-Metz était saturée et que, sans troisième voie entre Pagny-sur-Moselle et Nancy, il serait impossible de faire rouler les TGV prévus. Vous avez vu une troisième voie réalisée? Et pourtant, non seulement les TGV circulent, mais en plus, il y a plus de TER. Compte tenu du nombre de TER qui circulent aujourd’hui entre Nancy et Metz, on peut penser qu’ils suffiront pour assurer la desserte de Vandières. Les arguments anti-Vandières ne résistent donc pas à une analyse objective. »


Pierre DEBANO



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