BEZONS (95) : SAUVONS LES ARBRES DU PARC ALBERT BETTENCOURT

Bravo pour vos actions pour la sauvegarde de ce parc !
Sa conservation doit devenir un enjeu majeur des élections.
Les têtes de liste doivent prendre position par écrit !
Courage pour les actions à venir !

Ne lâchez rien et bon courage pour la suite ! Le maire devrait être poursuivi en justice pour avoir mis la charrue avant les bœufs.

Bonjour,
il ne faut pas se fier à une caricature et à un simulacre de communication digne de Vichy, qui attaque en mer au canon de 150 un émissaire venu en barque sans arme avec un drapeau blanc pour des négociations de paix, où Radio Dakar annonce en septembre 40 qu'ils ont été lâchement attaqués par la marine anglaise... Il fallait comprendre dès les notes de 2008 et des conseils municipaux de 2010 que "parc" signifie des "pelouses & des arbres" entre les barres d'immeubles... qui servent de gradins aux spectateurs pour les manifestations sur le stade (aux dim. standard 60m.*90m soit 90% de la surface actuelle du parc Bettencourt, sans oublier par exemple ce que signifie "arboré", le long du parking de Ch. Colomb par exemple, qui sert aussi de mail (M L-K) pour aller en IMPASSE au Stade Delaune. En un mot, nous l'avons compris, ce n'est pas parce que le FN aurait "changé de patron, changé la FORMULATION du programme" (en clair, ce n'est plus ce style, encore en vigueur chez les Verts où "toute (la) politique, découle, en étoile, de l'écologie absolue), et pour le FN tout (dé)coule de l'immigration, le reste est "secondaire"... en est la conséquence, désormais "aggiornamento", la formulation est linéaire, dans la forme, par thèmes, en chapitre, où aucun n'est prioritaire sur l'autre, tous au même niveau d'importance, ne découlant pas l'un de l'autre mais indépendants, comme n'importe quel autre parti, tout cela n'est qu'une affaire de forme, MAIS dans la FOND, l'objectif est le MÊME !!! Les mots de la PRESENTATIONS changent, mais le sens, le fond, par delà la langue de bois, RIEN n'a changé, on ne tient pas compte des conclusions FAUSSES, TRUQUEES et non consultées pour les personnes à expulser, du commissaire, puisque désormais au niveau du Préfet on insiste, lors du Conseil Municipal du 11 décembre JAMAIS MIS EN LIGNE, sur fait que les réserves de l'enquête publique, sans les citer, ont TOUTES été levées par la concertation, c'est à dire que le projet initial est VALIDE à 100% par la DECLARATION d'utilité publique et (qu'à moins d'avoir un René Bousquet aux ordres du politique) à ce titre TOUS les permis (sans en citer le détail... N permis ou unique permis sans en donner le périmètre ni le contenu ? C'est fou, c'est flou, y'a un loup ... garou qui devient de fait gardien de la Bergerie Bezons, et nous sommes tous ses "moutons") doivent être délivrés le plus vite possible (donc, si ça tombe avant le mois de mars), on aura réussi à truquer une enquête publique en trompant tout son monde sur la "mobilisation de plus de 1500 personnes durant l'enquête publique qui a permis, par le triomphe de la démocratie, de faire aboutir ce projet voulu par les Bezonnais" selon le blog de qui vous savez sur "Cœur de Ville" ! Pétain n'aurait par rêvé mieux pour transformer un échec en victoire du totalitarisme, ou l'inverse ! Autrement, dit, c'est comme si 99% de la population avait voté pour le maire et son projet en ayant dit NON à 99% : Echec total de la consultation, qui passe outre l'opinion publique... Je me demande même si dans le Parisien, le journal n'aura pas annoncé le résultat contraire de celui de l'avis que nous avions exprimé, pour faire croire que tous soutiennent le projet, comme la politique de Valls (72% des Français, alors que pour une fois, les journalistes accusent la le coup, la vérité, les résultats ne sont pas là... alors, qu'est-ce qui plait ? l'impuissance de la chaîne police-justice ou un canular médiatique où la "popularité" n'est pas le fruit de ses succès... de ses échecs alors ? J'espère que non !) et du maire pour avoir déclaré "d'utilité publique"... un projet, qui n'était qu'un "chèque en blanc", ensuite, on fait ce qu'on veut du contenu du projet, on le change... ou pas, sans dire en quoi, une fois l'utilité publique déclarée... même si aucun projet concret n'était dessiné après les réserves (la langue de bois transforme ça en "recommandations", qu'on ne suivra pas en fin de compte... de manière légale... un peu comme si Sarko avait dit en 2012 "les voies de mes électeurs, et les 1,5 millions de bulletins blancs sont pour moi. J'ai compris que les français étaient très satisfaits de ma politique et de me reconduire en tant que président de la République. Je les en remercie. Donc je reste à l'Elysée"..., alors même lui, comme Hollande, à cause de 2 millions de bulletins nuls et blancs, aucun n'avait la majorité absolue à présidentielle... le coup d'Etat... permanent aurait dit Mitterrand), peu importe le "projet", puisqu'on n'en tient pas compte, comment un préfet peut donner suite à projet sans contenu a priori mais sera défini au fur et à mesure du bétonnage ? Je signale que pour une autre affaire, un arrêté du préfet contre un "fonctionnaire délinquant" à poursuivre pour "dérive radicale" a été annulé par le Tribunal Administratif ! Quid de l'indépendance ou du court-circuitage des juridictions administrative ? De toute manière, je n'ai jamais cru à la "sauvegarde/sauvetage du parc" puisque tant qu'il reste des gens menacés d'expulsion jusqu'à l'Eglise et l'ancienne poste de Bezons où un braquage de la bande à Bonnot à fait un mort... la menace persiste pour tous ou d'un bétonnage anticipé avant la fin d'un délai de recours à un permis de construire, quid d'un ouvrage, petit ou grand, construit à la va-vite (dans tous les sens du terme...) en moins de 2 mois, et livré avant celui de la délivrance du permis ? Mettant l'administration et les autorités devant le fait accompli, on n'a pas expulsé des riverains qu'on fait des promesses de vente pour des logements qui ne seront pas livrés, des immeubles pas construits, et donc pas de permis encore délivrés, avant 3 ou 4 ans... le temps de trouver une place à "l'asile" pour ces "réfractaires" du progrès social ? On aura le fin mot de l'histoire le 30 janvier, Salle Aragon, 19 h... une décision aussi "claire" que celle de 1800 à 20000 nouveaux logements à Jérusalem-Est et "proche" de la ville sainte, un tantinet profanée par la folie des hommes... qui aiment plus l'argent que leur prochain (Vous savez ce qui est arrivé à celui qui déclamait en ces lieux "aimez-vous les uns les autres" ?) Servir... l'argent ou Dieu, il faut choisir.

En conclusion, il ne reste plus qu'à voter contre le maire aux prochaines élections.

Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous lisez, que vous prononcez, quel bien vous feront-elles si vos actes ne s'y conforment pas ?