Condition de travail au CHBA

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#1

2015-02-28 09:17

toutes les guerres menées par les États-Unis depuis l’année de leur fondation, 1776.

17 ans. C’est le nombre d’années durant lesquelles les États-Unis ont vécu en paix. Sur plus de deux siècles d’existence, ça ne pèse pas lourd.

Pour vous donner une idée, si vous choisissez au hasard une année entre 1776 et 2015, il y a 92,88 % de chances que les États-Unis aient été en guerre au cours de l’année que vous avez choisie.

Aucun président étasunien n’est à proprement parler un « président de paix ». Tous les présidents des États-Unis de l’Histoire peuvent être techniquement considérés comme des « présidents de guerre ».

Il n’est jamais arrivé que les États-Unis passent plus d’une décennie sans participer à une guerre.

La seule fois que les États-Unis ont passé cinq ans sans guerre (1935-1940), c’était durant la période isolationniste de la Grande Dépression.


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#2

2015-02-28 09:21

Le CRIF bluffé par un Hollande des grands soirs

Hier soir, lors de la soirée bénie dédiée au dîner de l’Avant-garde, notre président bien-aimé, François Hollande, a exercé son unique talent d’orateur pour nous livrer un discours dont lui seul a le secret.

Un discours épatant et inattendu, axé autour du combat contre « l’antisémitisme », qui est parvenu à surprendre un auditoire ébahi par la grâce et l’éloquence de celui qui fait la fierté de tous les Français aux quatre coins du globe, redorant le blason de la Résistance française face à la haine, à la barbarie et aux points de côté.

François Hollande, n’en déplaise aux grincheux, est un grand homme d’État qui fait passer l’intérêt collectif au-dessus de ses ambitions personnelles. Son aura rappelle au monde que la France reste une grande nation sur la scène internationale, de part son influence, comme l’entretenait Charles De Gaulle en son temps.

En effet, les paillettes, le dîner à 900 € et les costards à 10 000 € pièces affichés lors de ce dîner mondain et avant-gardiste ne sont pas sans nous rappeler l’ambiance conviviale et fraternelle qui caractérisait la vie du maquisard pataugeant dans la boue et le sang, se nourrissant de racines afin de ne pas subir les affres de la famine, coincé qu’il était entre les lignes allemandes armées jusqu’aux dents.

Tel Jean Moulin, François Hollande s’est illustré en affirmant sa résistance à la haine, faisant fi des risques de baisse dans les sondages, déjà en dessous du concevable.
Un courage exemplaire qui devrait inspirer tous les hommes politiques au service du peuple de l’Avant-garde.

Contre vents et marées, François Hollande dénonce avec fougue les sources de l’antisémitisme, qui trouvent repère au sein des 10 millions d’islamo-bamboulas français pro-palestiniens et au sein des 50 millions de « Français de souche » fascistes, soit la quasi-totalité du peuple français excepté l’Avant-garde.

François Hollande appuie avec sagesse sur l’origine ethnique des profanateurs du cimetière juif du Bas-Rhin, des « Français de souche », et met l’accent sur l’abomination de l’acte ainsi que sur leur ignorance quant à la symbolique juive affichée sur les tombes, car il va de soi que si la symbolique était chrétienne, cela n’aurait été qu’un délit mineur de jeunes étourdis ne cherchant qu’à défendre de façon fort maladroite la laïcité.

Notre cher François Hollande ne se ménage pas : il enchaîne les punchlines avec gourmandise et lance que « les juifs sont chez eux en France ; ce sont les antisémites qui n’ont pas leur place dans la République », déclaration applaudie par une salle conquise.
C’est avec audace qu’il annonce à la quasi-totalité de la population française leur déportation vers d’autres contrées… un homme politique sans langue de bois tel qu’on aimerait en voir plus souvent.

Courageux, François Hollande annonce avec détermination son intention de criminaliser et de punir avec sévérité toute personne qui aurait l’outrecuidance de ne pas baisser le regard au passage d’un être de Lumière.

Un président qui rassure et qui redonne de l’estime et de l’amour-propre au peuple de France, qui retrouve en cette divine occasion un père spirituel digne de ce nom.

Certains cerveaux malades, complètement déconnectés de la réalité mondaine, n’ont évidemment pas hésité une seule seconde à blasphémer cet homme pourtant si intègre en le caricaturant en chien docile.

 

La haine et le fascisme ne passeront pas !
Pour la paix avant-gardiste, exigeons la mort aux « Français de souche » et aux islamo-bamboulas !


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#3

2015-02-28 13:11

Défendons le Service Public de Santé à Vannes et en France. C'est notre santé et celle de nos proches qui est en jeu!
soignante au chba

#4 avoir des conditions acceptables pour des soins de qualité s

2015-02-28 17:41

Notre service public se degrade de jour en jour, peut on parler de budget ? Lorsqu'on qu on soigne. Humainement pouvons nous toléré ses dégradations et pouvons nous mettre en dangers les patients ? C est pour cela que le personnel du chba est en grève.  On veux des soins de qualités et du personnel en conséquences pour assurer ses soins. Pouvoir etre a l écoute de nos patients et les rassurer. Et qu on arrête ses restrictions budgétaires dans la santé.  Nos patients sont pas des marchandises mais des Humains qui pn besoins de soins de qualité et de l ecoute


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#5

2015-02-28 19:39

Une belle chambre, c'est bien, mais du personnel suffisant pour être attentif, disponible,apporter des soins de qualité,c'est une nécéssité

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#6

2015-03-01 09:31

Pk pas faire une greve nationale. Je ne comprends pas. Tout le monde est toucher. Eux savent bien faire a decallage pour pas que cela se sache au alentour
soignante au chba (pratel)

#7

2015-03-02 08:23

La qualité des soins se dégrade. Notre hopital est une usine, le travail est fait au pas de course, sans avoir le temps nécéssaire pour l'échange avec les patients, ce qui "donnait du sens" au travail du soignant. Maintenant l'hopital est un tirroir-caisse, les patients un moyen d'y parvenir, et les soignants, les robots pour y parvenir. Il n'y a plus de respect, ni pour les patients, ni pour les soigants.

 


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#8

2015-03-02 16:48

tout mon soutien au personnel hospitalier
FANCH

#9

2015-03-04 09:20

humanité: Disposition à la compréhension, à la compassion envers ses semblables, qui porte à aider ceux qui en on besoin.(def Larousse)
Souhaitons que les choses évolues dans le bon sens. Il n'est pas incompatible de faire des économies tout en gardant un certain sens moral et le respect des valeurs humaines.

ça urg

 


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#10 Re:

2015-03-04 15:52

#6: -  

 fédérer c'est dur et pourtant tous dans la même galère. Le système actuel est fait de tel sorte à ce que soit individuel ! Mais je rejoins cette "logique" à 200 %


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#11

2015-03-04 20:07

Pas simple. ...


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#12

2015-03-05 20:03

inhumanisation le seul mot qui me viens
qu'apprend t'on à l'école AS OU IDE
c'est un métier humain avant tout et oui dans la théorie mais avons nous le temps de l'être, quand le personnel est toujours réduit et le travail que l'on nous rajoute (toujours plus) c'est une usine rien de plus qui voudra encore faire ce métier dans de telles conditions et pourtant c'est un beau métier si on à le temps de le faire correctement, dans de bonnes conditions ce qui n'est pas le cas
la CGT du CHBA

#13 la santé

2015-03-10 06:41

le gouvernement va encore faire une économie sur la santé : 3 milliards  et une grande partie sur la masse salariale, donc plus de 22 000 supressions de postes dans les hôpitaux : alors que le personnel est en souffrance par manque d'effectif, ne pouvant apporter aux patients les soins de qualités et l'écoute qu'ils auraient besoin. Allons nous encore accepté tout ses sacrifices alors que de l'argent est dépensée et des personnes s'enrichissent, depuis cette fameuse crise : 10 % en plus de milliardaires.

Pouvons nous accepter que nos patients sont en danger et le personnel hospitalier ?

vaste sujet : la réponse est en nous et pour pouvoir se regarder dans une glace le matin, il faut lutter pour avoir des conditions acceptables et ainsi mettre nos patients en sécurité.

faite passer ce message, et que cette pétition soit signé de tous, amis(es), familles, usagers etc...

c'est à nous tous de défendre ces biens précieux :respecter nos droit et nous respecter,  l'écoute pour nos patients et avoir du temps pour eux pour les rassurer et leur expliquer etc..., avoir des effectifs sufissants pour des soins de qualité, et  tout simplement travailler dans les bonnes conditions.

c'est tous ensemble que nous arriverons à nous faire écouter.


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#14

2015-03-11 22:37

La qualité des soins se dégrade de + de +, nous ne sommes pas a l usine "quoi que"???? .
un hopital sans direction des soins résultats....dégradation de la qualité des soins et des contions de travail...
et on est en 2015????

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#15

2015-03-12 12:20

Je vous ai reçu sur Plum FM. 100% avec vous

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#17

2015-03-30 11:01

30/03/2015

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2015-04-08 19:29