Au PDG INSERM: Pour la transparence des classements régionaux A/B

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Au PDG INSERM: Pour la transparence des classements régionaux A/B.


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#1

2014-11-05 15:18

De la transparence rien que de la transparence.

Visiteur

#2

2014-11-06 13:32

Bonjour,
j'ai demande mon classement à mon ADR5.Pas de réponse
.

Visiteur

#3 Re:

2014-11-12 14:58

#2: -  

 Idem pour moi l'an dernier. Pas de réponse

toto

#4 Classement régional

2014-11-13 11:15

Le classement régional (CR) a été mis en place en 2004 à la demande de l'ex DG  C.Brechot et il était au départ expérimental en région.

Depuis, il s'est généralisé, le principe consistant à écarter les dossiers classés B (plus nombreux statistiquement dans les catégories A que pour toutes les autres).

Ce qui est une injustice des plus flagrante, en effet, personne n’empêche l’administration de faire son travail de classement pour les dossiers d’agents, sauf qu’elle s’approprie celui des représentants du personnel en modifiant d’emblée les règles du jeu, s’il s’agissait d’un jeu bien sûr.

Cela s’appelle le fait du prince ou l’opération du saint esprit s’il fallait y placer une note humoristique !

Le fond du problème étant qu'un dossier d'agent classé B tout aussi valable qu'un autre classé A au niveau d'équivalence de compétences et carrière ne pourra pas être validé par la commission par les représentants du personnel, sauf s’il est soumis à l'arbitrage du PDG qui ira toujours dans le sens des représentants de l'administration, c'est un fait établi..

Autre millefeuille, les commissions régionales dont personne ne sait exactement comment elles fonctionnent, et ce d'autant plus que le mode d’organisation est différent d'une année sur l'autre selon la composition des membres de la dite commission ou des règles non écrites si elles existent…de fonctionnement.

Car les dossiers d’agents passent d’abord par la case commissions régionales, sorte de canevas qui privilégient pour certaines le niveau de diplôme, pour d’autres, les compétences, ou d’autres encore  des critères variant d’un endroit à un autre, selon des sources confirmées.

Cette étape est très importante car elle décide qui doit avoir son précieux sésame ou non pour rentrer au paradis des A ou au purgatoire des B, le pays ou l’on n’arrive jamais.

L’enfer existe aussi pour les dossiers non promouvables, qui parfois, peuvent être relativement nombreux, selon certains corps. (catégories C essentiellement)

Encore une injustice flagrante qui doit être dénoncée.

Cela n'a donc rien de transparent, ni de démocratique, et il s'agit de la carrière des agents qui est en jeu dans cette affaire de classement (sur quels critères, quelles compétences, nul ne le sait).

Il s’agit bien sûr des grades et des corps, sauf que les échelons devaient eux aussi passer à la moulinette du CR alors qu’il ne s’agit que d’un simple rattrapage d’indice et en aucun cas d’une promotion comme on essaye souvent de nous le faire croire en tant que représentants des personnels pour les CAP.

Le SNTRS-CGT a empêché cette procédure arbitraire et injuste grâce à son efficience et à la célérité et la vigilance de ses représentants.

En effet, de quel droit les possibilités concernant les échelons devraient subir le joug impérial du classement régional alors que nous parlons de points indiciaires et rien d’autre.

Sinon, les mêmes agents auraient droit éternellement au package corps, grade et échelon, sans critère établi, au détriment de leurs collègues qui développent pourtant pour nombre d’entre eux les mêmes compétences de métier !

Il faut savoir que les agents restent très attachés aux changements d’échelons, qui leur assure le petit plus permettant la paix sociale dans les administration et les labos.

Cela, je l’avais clairement indiqué en tant qu’ex élu en CAP devant la présidente de commission partie depuis, il y a de cela quelque temps déjà.

Donc, pour résumer, ce qu’il faut retenir, c’est que les représentants du personnel lors des sessions CAP doivent pouvoir présenter un dossier classé B au même titre qu’un autre classé A sans aucune interférence si le niveau de carrière, de compétence et d’aptitude reste le même, et sans avoir à franchir un barrage insurmontable.

Il est parfaitement évident que pour les IR - ou les possibilités qui étaient de l’ordre de 6 en 2007 et sont passées à 3 en 2014 – le classement régional a peu d’influence en raison du manque flagrant de perspective.

Et la situation en 2015 va encore empirer en raison des recrutements en externe qui vont baisser au moins d’un tiers, sinon plus, et selon une règle proportionnelle….CQFD.

Bon courage à tous et tous au ministère pour réclamer des postes, des budgets et des emplois statutaires en rappelant que 43 % des personnels de l’institut sont des CDD et vacataires, condamnés à la précarité, les postes statutaires étant devenus rares et chers.

Et à l’heure actuelle, un CDD ne peut pas rester plus de trois ans dans l’organisme, pour cause de CDIsation, tout simplement. (voir loi Sauvadet)

La précarité à l’inserm est devenue un vrai problème, surtout dans les formations de recherche.

La précarité au CNRS reste inférieure à celle de l’inserm, il faut aussi le savoir !


Visiteur

#5

2014-12-09 15:29

Difficile d'avoir de la transparence, par contre pour le surcroit de travail la demande et immédiate.