Alerte CPGE du lycée Claude Monet

La rentrée 2011 dans l'académie de Paris s'annonce placée sous le signe d'une sévère diminution des heures d'enseignement. Les Classes Préparatoires commerciales et littéraires sont durement touchées, dans tous les établissements de l'académie. Le projet du rectorat pour la prochaine rentrée est de retirer 637 heures d'enseignement à l'ensemble des CPGE parisiennes, ainsi qu'une proportion importante de leurs heures d'interrogations orales (les « colles », spécificité et point fort des classes préparatoires).

Au lycée Claude Monet, le rectorat annonce la suppression arbitraire de 11 heures de cours en classes préparatoires littéraires et commerciales. Ce serait pour nous l'obligation d'alourdir dans ces classes les groupes de langues anciennes et vivantes ; et ce serait même une menace pour la diversité des enseignements dispensés sur place, dont certains pourraient disparaître, alors que nous préparons nos étudiants à des concours aujourd'hui plus nombreux qu'hier. Nous connaissons votre attachement à ces filières d'excellence, vous connaissez notre engagement, notre investissement pour former et faire réussir nos étudiants.

Pour le moment, les négociations sont en cours. Nous nous adressons à vous, parce que nous sommes persuadés que votre mobilisation sera déterminante dans le maintien de la totalité de nos heures.

C'est pourquoi nous vous invitons à signer et diffuser autour de nous le texte suivant, ainsi qu'à faire connaître votre réaction auprès du Rectorat de Paris qui prendra la décision finale. Toute initiative pour nous soutenir pourra utilement contribuer à maintenir la présence et la qualité d'enseignements indispensables à la formation et à la réussite de nos étudiants.

 

 

Pétition :

 

Nous avons appris le projet de suppression de 11 heures de cours qui pèse sur la dotation horaire des CPGE du lycée Claude Monet. Dans l'intérêt des étudiants, pour préserver la qualité d'une formation à laquelle nous sommes attachés, nous demandons vigoureusement la levée de cette menace et le maintien de la totalité des heures d'enseignement existantes.