BEZONS (95) : SAUVONS LES ARBRES DU PARC ALBERT BETTENCOURT

John Le Rouge de colère

/ #50 Notre démocratie est-elle plus fragile que la paix de ces pays forcés à la guerre pour leurs droits?

2013-07-12 22:43

Il est des heures graves dans l’histoire d'une commune qui nous imposent, avec un cruel sentiment de trop tard, un retour sur ses évolutions et ses convulsions des mutations actuelles auxquelles nous ouvre la mondialisation, (GCC est basée au Mexique : Chiuahua, les matéraux de construction de nos immeubles sont espagnols) où la sauvegarde d’un équilibre économique mais aussi écologique ancien désuet tient toute sa force dans sa capacité de discerner les menaces qu’on nous cache. Et cet équilibre de notre mode vie, à nul autre pareil depuis la toute puissance de notre société industrielle qui n'en finissait pas de décliner depuis 40ans s'est trouvée confrontée à une menace mondiale bien plus extravagante qui est notre péché d'orgueil de l'économie d'une nature qui se venge au travers de notre emprunte carbone et nous conduit à notre propre auto-destruction. Pour toutes ces raisons, je dis "NON" à la disparition d'un parc à qui n'avons pas demandé son avis sur sa déportation, je dis "NON" au déplcement du stade qui a perdu sa piscine en pleine air qui n'est jamais reparue de son site originel d'une vaine attente comme d'un "grand soir" remisé aux poubelles de l'histoire. Enfin, je dis "NON" à l'exode des familles du périmètre de la zone dont certaines sont ici depuis près d'un siècle, et ont connu les affres des guerres et des souvenirs pas toujours roses mais parfois terriblement rouges et ensanglantés de leur départ forcé de leur pays d'origine qu'il fut "colonial" ou de patries perdues à jamais, où ils ne retrouveront plus jamais les leurs. Pour toutes ces raisons, nous devons dire non à ces projets qui défigurent notre ville autant, sinon plus qu'une guerre, dès lors qu'ils s'avèrent inutiles et nuisibles, aussi bien aux gens, qu'à la nature et à la collectivité !! Notre amour pour cette ville est à ce prix, et jamais nous n'en démordrons, car c'est à ce prix que nous entendons défendre notre ville. De tous ces projets, nous ne saurons qu'en faire. Nous n'en voulons pas. Et c'est en ce sens que notre pays, la France, notre patrie (d'adoption ou non), entend rester une démocratie...